Navigateur linguistique

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À propos du Navigateur linguistique

Le Navigateur linguistique cherche simultanément dans tous les outils d’aide à la rédaction, jeux et billets de blogue du Portail linguistique du Canada. Il vous donne accès à tout ce dont vous avez besoin pour bien écrire en français et en anglais : articles sur des difficultés de langue, recommandations linguistiques, tableaux de conjugaison, suggestions de traductions et bien plus.

Pour trouver la traduction d’un terme ou la réponse à vos questions d’ordre terminologique dans un domaine spécialisé, consultez TERMIUM Plus®.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Résultats 1 à 10 de 30 (page 1 de 3)

10 conseils pratiques pour enrichir votre vocabulaire

Billet de blogue portant sur 10 astuces pour enrichir son vocabulaire.Quand on apprend une langue, surtout à l’école, on étudie les règles de grammaire et les conjugaisons, on mémorise des phrases, et parfois même des listes de mots. Mais au moment de parler, on peut avoir l’impression qu’on n’arrive pas à exprimer ses idées clairement. On n’a pas suffisamment de mots pour les dire ou ceux qu’on garde en tête ne sont pas utiles pour le contexte. Par exemple, il faut donner une opinion sur la circulation routière en ville. Vous savez donner votre avis, mais le vocabulaire propre à ce sujet vous manque. Imaginons une autre situation moins compliquée et tout à fait courante. Après plusieurs heures d’apprentissage de la langue française, vous voulez expliquer une de vos recettes favorites. Vous avez les verbes pour énumérer les étapes, mais pas le nom des ingrédients. Ou, vice versa, vous connaissez les ingrédients, mais pas les verbes. Alors comment faire pour enrichir votre vocabulaire de façon pratique, sans nécessairement créer et mémoriser des listes? Grâce à mon expérience comme enseignante de français, et aussi en tant qu’apprenante de langues étrangères, j’ai découvert quelques stratégies, simples mais efficaces, pour apprendre de nouveaux mots. Ces astuces pourraient vous servir en tout temps : 1. Observez la version française des étiquettes des produits Nous avons l’avantage extraordinaire, ici au Canada, d’avoir les étiquettes de nombreux produits dans les deux langues officielles, l'anglais et le français. 2. Sélectionnez le français comme langue d’affichage de vos appareils électroniques Choisissez le français comme langue du système de votre ordinateur, téléphone cellulaire ou tablette. 3. Lisez l’actualité en français Quand vous lisez les nouvelles dans un journal francophone, vous pouvez en choisir une, cibler les mots importants et les chercher dans le dictionnaire. 4. Écrivez une page de journal intime par activité quotidienne Par exemple, si vous allez au gym, à la fin de votre séance de sport, rédigez-en un résumé pour apprendre les mots français correspondant aux machines, mouvements et muscles utilisés. 5. Consultez la météo en français Brisez la glace avec n’importe quel francophone en utilisant les mots de la météo propres à chaque saison. 6. Trouvez le nom français de vos vêtements favoris des 4 saisons De cette façon, chaque fois que vous mettrez ce vêtement, vous penserez à son nom en français. Et quand vous visiterez une province francophone, vous pourrez faire des achats plus facilement. 7. Créez un compte Twitter en français Même si vous n’aimez pas beaucoup les réseaux sociaux, vous pouvez apprendre du vocabulaire qui vous intéresse en suivant les comptes des personnes, groupes et institutions (comme le Portail linguistique du Canada) qui vous tiennent à cœur. 8. Ajoutez des légendes en français à vos photos Pourquoi ne pas créer un compte Instagram dont le principal objectif serait de mettre des titres français à vos photos? Vous pouvez également demander à vos (nouveaux) amis francophones de vous recommander des légendes. 9. Enrichissez votre vocabulaire en jouant En cliquant sur Jeux sur le vocabulaire dans les Ressources du Portail linguistique du Canada, vous trouverez une variété de jeux qui vous permettront de découvrir de nouveaux mots ou de rafraîchir votre mémoire. 10. Recherchez le vocabulaire d’un sujet qui vous intéresse La base de données terminologiques et linguistiques TERMIUM Plus® regroupe de nombreux termes par domaine, ce qui aide énormément à retenir les notions et à les appliquer dans la vie quotidienne. À vous la parole : quel conseil ajouteriez-vous à cette liste? Partagez, dans la section « Commentaires » ci-dessous, vos trucs (ou ceux de vos amis) pour apprendre de nouveaux mots. Merci d'avance.
Source : Blogue Nos langues (billets de collaborateurs)
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Le français des médias sociaux : pour éviter de « tweeter des hashtags »

Billet de blogue en français présentant les mots français qui décrivent les réalités des médias sociaux.Si je vous parle de créer des « hashtags » et de « tweeter », vous me comprenez sûrement. Et si j’utilisais les bons termes français? Vous créeriez alors des « mots-clics » et vous publieriez des « gazouillis ». Voilà des mots moins courants pour la majorité des adeptes des médias sociaux! Les médias sociaux servent principalement à faciliter le partage de contenu, la collaboration et l’interaction sociale, mais ils ont un langage bien à eux qui peut être un obstacle à celui qui l’ignore. Ce langage est apparu d’abord en anglais… mais n’allons pas croire qu’il est impossible de parler de médias sociaux en français! Voici un tableau utile qui vous aidera à intégrer le français à votre univers social en ligne… ou en personne!   Petit lexique français-anglais des médias sociaux Terme français Terme anglais Définition Source : Lexique des médias sociaux du Bureau de la traduction. 1 Définitions de mon cru. clavardage (nom masculin) chatting Conversation textuelle en temps réel sur Internet.1 désamicaliser; décopiner; amiradier unfriend Retirer une personne de sa liste de contacts.1 données de géomarquage (nom féminin pluriel) geotagging data Renseignements associant un lieu à des photos, à des vidéos, à des messages, etc.1 émoticône (nom féminin); binette (nom féminin) emoticon; smiley Symbole ou image dans un message qui exprime l’humeur de son auteur. étiquette (nom féminin) tag Mot-clé attribué à une photo, à une vidéo ou à un texte pour caractériser son contenu ou identifier une personne. Nota : Le terme utilisé sur Facebook est « identification ». externalisation ouverte (nom féminin); externalisation à grande échelle (nom féminin) crowdsourcing Pratique qui consiste à faire appel à la créativité, à l’intelligence et au savoir-faire des internautes pour mener à bien une activité particulière. fil d’actualités (nom masculin) home timeline Sur Twitter, flux chronologique de tous les gazouillis provenant des gazouilleurs auxquels est abonné un utilisateur. fil de nouvelles (nom masculin) news feed Sur Facebook, le fil de nouvelles comprend des mises à jour de statuts, des vidéos, des photos, etc. gazouilleur (nom masculin), gazouilleuse (nom féminin) twitterer; tweeter Utilisateur de la plateforme de microblogage Twitter. gazouillis partagé (nom masculin) retweet; RT Sur Twitter, gazouillis qu’un utilisateur fait suivre à ses abonnés. mise à jour de statut (nom féminin) status update Nouvelle publication affichée dans le profil personnel.1 Nota : Terme utilisé sur Facebook. mot-clic (nom masculin); mot-dièse (nom masculin) hashtag Mot-clé, série de mots-clés ou thème précédé du symbole numéro (dièse ou croisillon) servant à indexer et à classer du contenu. pseudonyme (nom masculin); pseudo (nom masculin) handle; nickname Alias ou forme abrégée du nom d’un internaute. publication (nom féminin) post Tout élément publié sur une plateforme de média social, y compris du texte, des images, des vidéos et des enregistrements audios. se connecter; ouvrir une session log in; sign in Commencer une session; activer la connexion à son compte.1 se déconnecter; fermer une session log out; sign out Mettre fin à la session en cours; couper la connexion à son compte.1 vidéoblogue (nom masculin); vlogue (nom masculin); blogue vidéo (nom masculin) video blog; vlog; videoblog Blogue diffusé sous forme de vidéo.1 wikipédiste (nom); wikipédien (nom masculin), wikipédienne (nom féminin) wikipedian Personne qui rédige ou modifie des articles sur Wikipédia. Pour une liste plus complète, je vous invite à consulter le Lexique des médias sociaux dans TERMIUM Plus®. Il s’avère un outil précieux pour tous les utilisateurs des médias sociaux. Maintenant que vous avez découvert tout ce beau vocabulaire français des médias sociaux, croyez-vous l’intégrer à vos messages? Parlez-nous de vos impressions dans les commentaires!
Source : Blogue Nos langues (billets de collaborateurs)
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Vous êtes polyglotte sans le savoir

Billet de blogue en français montrant que le français emprunte des mots à bien des langues en plus de l’anglais.De nos jours, nous avons l’impression que le français est envahi de toutes parts par l’anglais. Pourtant, la part du vocabulaire français venant de la langue de Shakespeare est à peine de cinq pour cent. Au fil des siècles, notre langue a emmagasiné les emprunts puisés dans les pays voisins… et même plus loin! Nous parlons italien Vous écoutez une cantatrice qui chante sur un balcon au pied d’un campanile? Tout cela est pittoresque, n’est-ce pas? Les mots en gras viennent de l’italien. Vous ne le saviez pas? Eh bien ce sont des maîtres du camouflage. Les emprunts à la langue de Dante se sont parfaitement intégrés au français et passent le plus souvent inaperçus. Pourtant, cette vague italianisante a suscité la réprobation à l’époque de la Renaissance. Bien des Français s’inquiétaient de cette invasion… dantesque. Nous parlons néerlandais Le français n’est pas seulement une langue latine. Il a également puisé dans l’abondant vocabulaire des langues germaniques. À commencer par le néerlandais, langue des Pays-Bas. Tout le monde connaît le Manneken-Pis, cet impudent bambin (mot italien) qui urine dans une fontaine de Bruxelles. Eh bien, manneken nous a donné « mannequin ». Les Néerlandais étaient une puissance coloniale. Ils ont entre autres colonisé l’Indonésie et le Suriname. Les mers n’avaient pas de secret pour eux. C’est donc par le biais de la navigation que les mots de leur langue se sont déversés dans la nôtre. Bâbord et tribord, pour garder le pied marin. Si vous tombez à l’eau, vous aurez besoin d’une bouée. Souhaitons que le commodore à bord de sa corvette ait pitié de vous et qu’il vous ramène au havre. L’éperlan et le flétan viennent aussi de la langue d’Érasme. Des verbes connus comme maquiller, haler, radoter, nous viennent des Pays-Bas. Nous parlons russe Bien sûr, il y a eu la vodka, petite eau, qui réchauffe les cœurs, les isbas, ces petites maisons, qui n’ont rien à voir avec les somptueuses datchas. Le régime communiste a laissé sa marque, lui aussi. Tout d’abord avec ses conseils ouvriers, appelés soviets, ses fermes collectives, les kolkhozes, ses atroces camps de concentration, les goulags, que nous a fait connaître Soljenitsyne. Mais bien avant le régime soviétique, il y avait ces massacres de Juifs, accusés de tous les maux, les pogroms. Le saviez-vous, le béluga tire son nom de la langue de Tolstoï? Et aussi cette soupe nourrissante qu’est le bortch. Et quand vous désirez signifier une fin de non-recevoir, vous dites niet, n’est-ce pas? Nous parlons allemand Qui dit Allemagne dit bière, n’est-ce pas? Pourtant le mot bière nous vient du… néerlandais. Mais pas le contenant dans lequel on la savoure, le bock. On frappe à la porte? N'ouvrez pas tout de suite : regardez par le vasistas. Restons dans le monde des clichés, la choucroute, ce chou aigre que l’on sert en accompagnement. Le plat de cochonnaille, consommé avec des litres de bière n’est pas typiquement allemand, contrairement à ce que l’on croit. Il est alsacien. Malheureusement, impossible de parler du pays de Merkel sans penser à la guerre. Les blindés, ces chars aveugles, viennent de l’Allemagne. Le bunker aussi, bien que ce terme ait pris d’autres sens en français. Sous l’Occupation, les Français ont connu des pénuries et remplaçaient le café frais par ce qu’on appelait un ersatz, substantif allemand qui signifie « remplacement ». Ceux qui visitent Strasbourg peuvent admirer les jeux de cloches de la cathédrale, ce que l’on appelle le glockenspiel. Nous parlons hébreu Difficile de dissocier la langue des Israélites du discours religieux. Des mots comme ange, chérubin, éden, kascher, manne, Pâques, séfarade en témoignent. Le jour du sabbat est le samedi. Mais saviez-vous que cidre vient aussi de l’hébreu? Nous parlons arabe La civilisation arabe est vieille de plusieurs siècles et il est donc normal qu’elle ait laissé son empreinte sur le français. Sur le plan de l’alimentation, particulièrement. Vous êtes un fanatique du café, ou vous préférez l’alcool? Un bon couscous aux merguez avec du safran suivi de loukoums à la pistache? Un sorbet à la pastèque avec tout cela? Tant qu’à y être, pourquoi ne pas organiser un méchoui? L’apport de l’arabe est considérable dans tous les domaines. Qui imaginerait qu’algèbre et chiffre sont des mots arabes? Tout comme sofa, calibre, magasin, sirocco (non, ce n’est pas de l’italien!) Conclusion Que retenir de tout cela? Que le français n’est pas une « langue pure ». De fait, une telle langue n’existe pas. Tout le monde emprunte à tout le monde et les mots s’acclimatent tout doucement dans leur nouvel environnement. Et vous? Connaissez-vous des mots qui viennent d’une autre langue que l’anglais?
Source : Blogue Nos langues (billets de collaborateurs)
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Chuchotements d’éveil – un atelier d’écriture pas comme les autres

Billet de blogue en français sur un atelier d’écriture en ligne ayant comme contrainte d’employer 11 mots positifs dans un texte de 5 lignes ou moins.Agente de secrétariat dans la fonction publique provinciale depuis plus de 30 ans, je suis passionnée par la croissance personnelle et j’aime inspirer les gens en quête d’un mieux-être. Soucieuse d’honorer la langue française et d’ajouter un supplément d’âme à l’écriture créative, je me divertis avec la prose et ses multiples fantaisies. J’adore cette langue pour sa sonorité, la richesse de son vocabulaire, ses subtilités pourvues de tellement de charme. En fait, les mots sont mes amis. Des amis qui me permettent de me solidifier et de poursuivre mon chemin intérieur. De plus, il est important pour moi de transmettre mes valeurs, d’utiliser un choix de mots positifs mais surtout vecteurs d’un élan vers mon accomplissement personnel. Désormais, mon rôle en tant qu’animatrice d’un jeu d’écriture consiste à passer le flambeau… aux passionnés des mots! De la mésaventure à l’aventure En janvier 2008, une mésaventure (je me fracture la cheville sévèrement) m’amène à l’aube d’une incroyable aventure. Immobile puis en convalescence pendant de longs mois, je cherche un jeu pour m’occuper l’esprit. L’idée me vient soudainement de choisir des mots positifs et riches de sens dans le dictionnaire, de les retranscrire sur de petits cartons, d’en faire la pige quotidienne et de m’en inspirer pour rédiger. Mettant en relief un nombre limité de vocables positifs pour composer mes écrits, je m’anime d’une force suggestive qui pousse mon talent toujours plus loin. Cela renforce la joie d’utiliser ma plume et de m’en émerveiller. C’est donc le défi que je me promets de relever… Pendant plusieurs années, je m’impose avec bonheur cette discipline, celle d’utiliser seulement 11 mots pour raconter de petites histoires. Tous les matins, je vais à la rencontre de mes humeurs et de mes fantaisies. Une courte citation appuie même chacun de mes textes pour le plus grand plaisir de tous mes lecteurs. Chaque jour m’apporte donc cette hâte de découvrir le message qui m’est destiné. En prime, quelques lignes rédigées à partir de mots placés de façon aléatoire, et voilà que l’essentiel d’une émotion condensée apparaît! Depuis tout ce temps, le défi est non seulement de composer un texte court et intéressant, mais de lui trouver une idée directrice sur laquelle je peux broder de jolies pensées. En 5 lignes ou moins, l’exercice m’amène aussi à structurer ma pensée, à capturer l’essentiel de mes idées. Sans le savoir et paradoxalement, je me fais guider tout doucement vers la liberté par ce jeu d’écriture sous contrainte : l’aventure de « Chuchotements d’éveil » est lancée. De la simple rêverie au plaisir de m’exprimer, l’expérience ainsi répétée fait jaillir de véritables étincelles de création. Dix ans plus tard Publié d’abord sous forme de blogue personnel, mon atelier d’écriture loge à présent dans un forum. Dix ans après sa création, il vit encore des jours heureux, et ma plume ne s’est pas essoufflée! Je partage désormais avec les gens cette fougue pour l’écriture créative, mais surtout positive, inspirante et nourricière, en ajoutant des parcelles d’espoir et de lumière. En tant qu'amoureuse des mots, j’écris des textes qui sont devenus, peu à peu, des accompagnateurs de vie. Mes valeurs, mes espoirs et mes réflexions ainsi déposés m’apportent une foi grandissante en mes possibilités. Mon estime et ma confiance s’en trouvent bonifiées et je constate que j’ai une plus grande aisance à écrire. En écoutant mes élans spontanés du cœur, je respecte infiniment ce cadeau de l’écriture créative et inspirée. À la relecture de tous ces textes que j’ai composés, je demeure toujours étonnée de voir comment ces messages se sont révélés inspirants et à propos, mais surtout combien ils ont été précurseurs de mon aventure à promouvoir mes ateliers d’écriture en ligne. Je crois donc humblement que ma mission est accomplie! Maintenant, tous les samedis, de nouveaux mots imposés attendent d’être apprivoisés, conquis, remaniés. Mon jeu permet à de nombreux participants de tous horizons (étudiants, retraités, élèves en francisation, etc.) de créer en s’amusant, de vivre l’expérience par eux-mêmes tout en la partageant!
Source : Blogue Nos langues (billets de collaborateurs)
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8 mots français intraduisibles qui me manquent quand je parle anglais

Billet de blogue en français traitant de mots français sans équivalent direct en anglais, et de leurs divers sens.Depuis la conquête de l’Angleterre par les Normands, en 1066, l’anglais et le français sont intimement liés par des siècles d’échanges de mots et un bassin commun de mots d’origine romane. Je suis une Canadienne anglophone, mais j’ai fréquenté l’école française dès la maternelle. J’ai rapidement découvert les similarités entre les deux langues et j’apprenais facilement mes leçons. Mais il y a toujours des mots français qui me manquent quand je parle anglais. Certains n’ont tout simplement pas d’équivalent! Je finis par les utiliser en français dans mes conversations anglaises. Est-ce que je me fais comprendre? Ça, c’est une autre question... 1. Si « Si » est un petit mot porteur de tant de sens. En anglais, on le traduit généralement par if, so ou yes. Mais en français, « si » est un mot spécial parce qu’il veut dire à la fois « oui » et « non ». Il faut toutefois l’utiliser correctement et dans le bon contexte, car il sert à répondre par l’affirmative à une question ou une affirmation négative. Exemple : — Tu n’aurais pas fait la lessive? — Si! J’ai déjà rangé les vêtements propres! Enfant, quand j’ai appris ce mot, mon petit moi anglophone a été stupéfait par les possibilités qu’il apportait. Il faut croire que j’étais déjà fascinée par la linguistique, car je trouvais ça merveilleux! Puisque le français a tendance à formuler les questions à la forme négative, le mot « si » est indispensable. En anglais, on aime poser les questions à la forme affirmative, ce qui explique peut-être que cette langue n’ait pas de mot équivalent. Quand je parle anglais, je me trouve souvent prise au piège quand j’ai besoin d’un mot pour contredire une affirmation négative. Je finis alors par bredouiller un « si, si, si » aussi confus qu’inutile! 2. Chez La préposition « chez » (en anglais seulement) se démarque de toutes les prépositions en ce qui concerne sa traduction en anglais. Elle se traduit couramment par at, for, among ou in. « Chez » renvoie habituellement à un lieu, à un domicile ou à un commerce, mais s’insère également dans plus d’une expression. Exemple : Je t'appellerai une fois que je serai chez moi. / I will call you once I get home. La plupart du temps, « chez » signifie « à l’endroit qui appartient à ». On comprend bien, au nombre de mots qu’il faut pour expliquer cette simple préposition, qu’il n’existe pas un seul mot qui la traduise parfaitement en anglais! 3. Tartiner « Tartiner » signifie « étaler quelque chose », généralement sur une tartine (un morceau de pain grillé). Vu la place qu’occupent le fromage et le pain dans la culture française, l’existence de ce curieux verbe n’est pas étonnante! J’aime tant dire « tartiner » – la sonorité du mot évoque presque sa signification! L’absence de ce mot en anglais ne m’empêchera pas de demander, dans la langue de Shakespeare : « pass the caramel au beurre salé so I can tartiner my toast »! 4. Bof Le mot « bof » est aussi français que le vin, le haussement d’épaules et l’expression « n’importe quoi! ». Quand une affirmation les laisse indifférents ou leur déplaît, les francophones utilisent l’interjection « bof! ». Cette exclamation est difficile à traduire avec précision en anglais, car elle dénote tantôt le mécontentement, tantôt l’indifférence. Les mots anglais les plus proches seraient whatever! ou meh!, mais ils ne sonnent pas aussi bien à mes oreilles. Bof! Je vais continuer d’employer l’interjection française! 5. Voilà « Voilà » est un autre de ces tout petits mots porteurs de tant de significations. Employé comme expression, il se traduit de multiples façons en anglais. Par exemple, il peut vouloir dire « here/there » et « this/that », mais il sert également à insister sur un élément, à simplement combler un silence ou à appuyer une affirmation. En français, « voilà » comprend tous ces sens. Formé à partir du verbe « voir » et de l’adverbe « là », il signifie littéralement « vois là ». Exemple : — T’as vu mon téléphone? / Have you seen my phone? — Sur la table, le voilà! / It's on the table; here it is! « Voilà » est un mot-cheville particulièrement utile que l’on peut notamment insérer à la fin d’une phrase comme un synonyme de l’expression « en effet ». C’est un mot tout simplement indispensable, voilà! 6. Bref Le mot « bref », cousin de l’adverbe « brièvement », correspond approximativement à l’anglais brief et dénote une période courte. Dans la conversation, on utilise souvent « bref », « enfin bref » et « bon bref » pour combler un silence ou pour conclure une idée. Dans la langue parlée, « bref » pourrait se traduire par les expressions in a nutshell, to make a long story short, basically ou anyway, mais aucune de ces expressions anglaises n’a le punch de ce mot français. Bref, ce mot résume bien les choses et il me manque en anglais! 7. Flemme J’espère que vous n’avez pas la flemme de continuer à lire mon billet! « Avoir la flemme » veut dire « être paresseux », mais aussi « ne pas avoir l’énergie ». On retrouve le plus souvent « la flemme » après le verbe « avoir »; l’expression « avoir la flemme » se traduit à peu près en anglais par I don’t feel like it (je n’en ai pas envie). Bien sûr, on peut dire en anglais qu’« on n’a pas le cœur à la fête ce soir », mais n’est-il pas plus amusant de dire que c’est « because you have la flemme »? Le nom « flemme » a donné naissance au verbe « flemmarder », mon mot préféré pour dire « paresser ». 8. Spleen Je pense que j’ai gardé le meilleur pour la fin. Comme « flemme », « spleen » a été popularisé par la littérature française du 19e siècle. Il décrit un sentiment de mélancolie sans cause apparente. Le spleen et la flemme sont des notions voisines et les deux sont des états d’âme typiquement français qui n’ont pas d’équivalent anglais. Voilà, bref, 8 mots qui me manquent quand je m’exprime en anglais. Et vous, y a-t-il des mots français qui vous manquent dans la langue anglaise? Traduit par Marc-André Descôteaux, Portail linguistique du Canada
Source : Blogue Nos langues (billets de collaborateurs)
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Terminologie de la copropriété, pour ceux qui rêvent d’un condo

Billet de blogue en français sur la terminologie française et anglaise liée aux condominiums.Les condos poussent comme des champignons dans votre voisinage? Ils pourraient s’avérer plus avantageux qu’une maison unifamiliale. La copropriété est souvent un bon choix pour les premiers acheteurs et les retraités. Des termes qui varient selon les régions Faut-il dire « condo » ou autre chose? Tout dépend de l’endroit où vous vivez. Dans la plupart des provinces, on parle de condominiums, de condos ou d’unités, mais en Colombie-Britannique on dit strata en anglais; au Québec, le terme reconnu par la loi est « copropriété » (en anglais : co-ownership). Comme disent les agents immobiliers : c’est l’emplacement qui compte avant tout! Ne vous en faites pas, cependant : on peut tout de même employer les mots « condominium », « condo » et « unité » dans un contexte non officiel, tant en Colombie-Britannique qu’au Québec. La copropriété relève de la compétence provinciale. Au Québec, elle est régie par le Code civil du Québec (CCQ). Le syndicat des copropriétaires comprend tous les copropriétaires (co-owners au Québec et condo owners ailleurs au Canada). Ces derniers élisent un conseil d’administration qui prend des décisions au nom de tous les propriétaires et locataires (lessees au Québec et tenants ailleurs au Canada). En vertu du CCQ, les décisions doivent être soumises au vote à l’occasion d’une assemblée générale des copropriétaires (general meeting of the co-owners). Autres termes techniques propres au Québec Une copropriété est dite « divise » quand le droit de copropriété est divisé en fractions comprenant chacune une partie privative et une quote-part des parties communes : « Sont dites communes les parties des bâtiments et des terrains qui sont la propriété de tous les copropriétaires et qui servent à leur usage commun » (CCQ, article 1043). La déclaration de copropriété (declaration of co-ownership) est composée de l’acte constitutif de copropriété (act constituting the co-ownership), du règlement (by-laws) et d’une description des fractions. Dès la publication (« l’enregistrement », ailleurs au Canada) de la déclaration de copropriété, les copropriétaires forment collectivement une personne morale appelée « syndicat ». Comme je l’ai écrit plus haut, une copropriété est constituée de parties communes (common portions) et de parties privatives (private portions). Vous verrez peut-être aussi les expressions « aire commune/privative », « élément commun/privatif » et « propriété commune/privative ». Par contre, il ne faut pas tenir pour acquis qu’elles signifient exactement la même chose, au regard de la loi, que « partie commune » et « partie privative », les deux termes employés dans le CCQ. Ces autres expressions peuvent toutefois être utilisées dans un contexte non officiel. Ce qui est à toi est à moi, mais pas forcément l’inverse Au Québec, quand on achète un condo, on acquiert une fraction d’une copropriété divise. Autrement dit, on adopte un mode de vie en collectivité. Comme vous le savez, les copropriétaires et leurs locataires, dans certains cas (les copropriétaires peuvent louer leur unité si le règlement le permet), ont le droit d’utiliser les parties communes dans une certaine mesure, tandis que chaque propriétaire a le droit d’accéder à ses propres parties privatives. Les parties communes peuvent se trouver à l’intérieur ou à l’extérieur de l’immeuble. Elles peuvent comprendre un terrain de stationnement, une entrée ou un vestibule, des corridors, des escaliers, un stationnement souterrain, un garage, un gymnase, une piscine, un jardin, etc. Pour en savoir plus long, je vous invite à lire le billet Un condo au Québec, du rêve à la réalité dans le blogue Nos langues, de même que l’article Condorama: Reflections on the World of Condo Advertising (en anglais seulement), dans le magazine Circuit de l’OTTIAQ. Liste des termes mentionnés dans ce billet Règlement (by-laws) Partie commune (common portion au Québec, common element ou common area ailleurs au Canada) Condo, condominium, unité en copropriété ou unité; copropriété au Québec (en anglais : condo, condominium, condo unit ou unit; co-ownership au Québec; strata en Colombie-Britannique) Syndicat (syndicate au Québec, condominium association, condo association ou owners’ association ailleurs au Canada) Acte constitutif de copropriété (constituting act of co-ownership) Copropriétaire (co-owner au Québec, condo owner ailleurs au Canada) Déclaration de copropriété (declaration of co-ownership) Assemblée générale des copropriétaires (general meeting of the co-owners) Partie privative (private portion au Québec, private area ailleurs au Canada) Locataire (lessee au Québec, tenant ailleurs au Canada) Traduit par Marc-André Descôteaux, Portail linguistique du Canada
Source : Blogue Nos langues (billets de collaborateurs)
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Périphrase : surnoms des villes et des pays 2

Jeu portant sur des surnoms (périphrases) attribués à des noms de villes et de pays.La périphrase est une figure de style qui consiste à utiliser plusieurs mots au lieu d’un seul pour désigner une chose (p. ex. dire le petit écran pour parler de la télévision). On a ainsi attribué à certains pays et à certaines villes et régions du monde un surnom distinctif, en employant une périphrase qui décrit une caractéristique de ce lieu.Pouvez-vous associer chacune des périphrases suivantes entre crochets avec la ville, la région ou le pays qu’elle désigne?1. Les Français aiment bien visiter [la Belle Province].le QuébecToulouseMarseille2. Le [berceau de la Renaissance] regorge de monuments, de musées, d’églises et d’autres trésors historiques.RomeVeniseFlorence3. Parmi les incontournables de la [cité comtale], il ne faut pas manquer la Rambla, l’avenue piétonne la plus réputée au monde.AthènesBarceloneRio de Janeiro4. La [perle de l’Adriatique] est ceinturée de murs de fortification qui ont été érigés entre le 12e et le 17e siècle.CasablancaHambourgDubrovnik5. La [ville sainte] occupe une place centrale dans les religions juive, chrétienne et musulmane.JérusalemBethléemRome6. Comptant plus de 3 000 lacs et de nombreuses îles, le [pays des Mille Lacs] offre des paysages à couper le souffle.la Nouvelle-Zélandele Canadala Finlande7. La [Grosse Pomme] est l’une des destinations les plus populaires au monde.New YorkLos AngelesHollywood8. L’[Île de Beauté] est boisée, montagneuse et formée de hautes falaises.Phuketla Corsel’île Maurice9. La [ville aux cent clochers] offre une architecture aux styles diversifiés.PragueVienneQuébec10. Plusieurs célébrités américaines ont été séduites par le [pays des mille collines].IrlandeRwandaHollande  
Source : Jeux du Portail linguistique du Canada
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Joyeux Noël autour du monde

Jeu où il faut trouver en quelle langue l’expression Joyeux Noël est écrite.Le temps des Fêtes est de retour! Un peu partout dans le monde, c’est une période traditionnelle de réjouissances qui s’exprime dans toutes les cultures et dans toutes les langues. Vous connaissez probablement l’expression Merry Christmas, l’équivalent anglais de notre Joyeux Noël. Mais savez-vous comment souhaiter un joyeux Noël dans d’autres langues?Voici 10 manières différentes de le faire. Trouvez dans quelle langue chacun des souhaits est exprimé, et consultez ensuite le corrigé pour avoir un aperçu de la prononciation de chaque expression et de son intonation (les lettres en majuscules représentant les syllabes qui sont accentuées).1. ¡Feliz Navidad!allemandespagnolgrecitalien2. Buon Natale!allemandespagnolgrecitalien3. Nollaig chridheil!allemandfinnoisgaéliquenorvégien ou suédois4. God Jul!allemandfinnoisgaéliquenorvégien ou suédois5. S Rozhdestvom khristovym!allemandgrecnorvégien ou suédoisrusse6. Vrolijk Kerstfeest!allemandnéerlandaisnorvégien ou suédoisrusse7. Hauskaa Joulua!allemandfinnoisitaliennéerlandais8. Kala Xristougenna!allemandespagnolgrecnorvégien ou suédois9. Frohe Weihnachten!allemandfinnoisinuktitutnéerlandais10. Quviasuvvimi quviasugitsi!finnoisgrecinuktitutnorvégien ou suédois  
Source : Jeux du Portail linguistique du Canada
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Le droit de vote des femmes au Canada

Jeu portant sur des questions linguistiques générales et sur le vocabulaire lié au droit de vote des femmes au CanadaOn retient 1916, année où les femmes du Manitoba ont obtenu le droit de voter aux élections provinciales, comme un jalon dans la lutte pour l'égalité juridique et politique des femmes. L'histoire du droit de vote au féminin, avant et après 1916, est cependant complexe. Répondez aux questions suivantes pour en apprendre plus sur le droit de vote des Canadiennes.1. Les femmes qui militaient pour le droit de vote au début du 20e siècle étaient connues sous le nom de .soufragettessuffragettessuffrajettes2. Selon l'Encyclopédie canadienne, les femmes du Canada ont obtenu le droit de vote de façon sporadique. Que veut dire le mot « sporadique »?au hasard, de façon irrégulièretrès tardivementsauvagement, cavalièrement3. Dans la première moitié du 19e siècle, la loi accorde le droit de vote à certains propriétaires, sans distinction de sexe. Quelques femmes se de ce droit, notamment au Bas-Canada, jusqu'à ce que la loi soit changée pour les exclure explicitement.prévalerontprévaudrontprévaluront4. En 1876, le Toronto Women's Literary Club est créé par la Emily Howard Stowe, une des premières femmes médecins au Canada.doctoressedocteuredoctrice5. Dans les années 1890, la Woman's Christian Temperance Union (Union chrétienne des femmes pour la tempérance) se prononce pour le droit de vote des femmes, qui lui paraît un outil nécessaire pour obtenir la prohibition. Qu'est-ce que la prohibition?l'interdiction de vendre et de consommer de l'alcoolla permission de voterle respect des convenances6. À la fin du 19e et au début du 20e siècles, de nombreux « simulacres de parlement » servent à promouvoir le droit de vote des femmes et à amasser des fonds pour la cause. Qu'est-ce qu'un simulacre?un modèle réduitun encan publicune simulation, une illusion créée volontairement7. En 1917, le gouvernement fédéral adopte la Loi des élections en temps de guerre, qui accorde le droit de vote à certaines femmes. Il tente ainsi d'augmenter le nombre d'électeurs susceptibles d'appuyer la conscription. Qu'est-ce que la conscription?l'enrôlement obligatoire pour le service militairela division politique d'un territoirel'interdiction de boire de l'alcool8. En 1929, le comité judiciaire du Conseil privé britannique que les femmes sont des « personnes qualifiées » et sont donc aptes à servir au Sénat.conclueconclutconclût9. La militante et femme politique Thérèse Casgrain est une figure de proue du mouvement des suffragettes au Québec. Donnez un synonyme de « figure de proue ».une meneuseune conseillèreune personne sans importance10. Si le mot « suffragette » nous vient de l'anglais, « suffrage » n'en est pas moins un mot bien français. Quelle est sa définition parmi les suivantes?plaidoyer, supplicationmanifestation de colèreacte de faire connaître son opinion, sa volonté  
Source : Jeux du Portail linguistique du Canada
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Des jeux « hot » pour l’été

Billet de blogue en français dans lequel l’auteure présente des jeux sur des expressions et des mots de vocabulaire liés à l’été qui figurent dans le Portail linguistique du Canada.L’été, surtout quand on est en vacances, on a tout son temps pour jouer! Je vous propose d’essayer quelques jeux du Portail linguistique du Canada pour parfaire votre connaissance du vocabulaire lié à la saison chaude, dans les deux langues officielles. Pleins feux sur les expressions « chaudes » L’été, on a chaud; on sue parfois même à grosses gouttes, surtout en pleine canicule. Mais quand on dit qu’on a eu chaud, on ne parle pas forcément de sueurs chaudes… Comment traduiriez-vous cette expression en anglais? « We were hot »? Hum, peut-être pas! Les jeux Expressions bilingues avec le mot chaud 1 et Expressions bilingues avec le mot chaud 2 vous apprendront que l’adjectif chaud ne se traduit pas toujours par hot ou warm. Essayez-les! Votre score vous dira si vous êtes vraiment « hot »! Fleurs en charades Ajoutez de la couleur, de la fraîcheur et du parfum à vos jours d’été avec les jeux de charades Mots découpés : Assortiment de fleurs estivales et Mots découpés : C’est le bouquet!. Il suffit de déchiffrer les indices qui mènent à des noms de fleurs comme hosta, chrysanthème et jacinthe. Prêt à jouer? Expressions à saveur estivale Imaginez-vous seul, assis au bord de la piscine, les pieds immergés dans l’eau et les yeux plongés dans un roman des plus palpitants. L’évasion totale. Le calme parfait. Et soudain… Plouf! Une bombe vous fait sortir de votre univers. Vous êtes trempé, votre livre aussi. Quel gâchis! Qui est l’auteur de cette mauvaise plaisanterie? Sur le coup, vous vous dites « it’s no picnic ». Mais puisque vous êtes un rayon de soleil dans la vie, vous réalisez rapidement que c’est une goutte d’eau dans l’océan. Comment diriez-vous la même chose en anglais? Avec le jeu Expressions estivales, vous verrez si vous visez juste! On vous en donne sept de plus, question de chatouiller vos neurones engourdis par la chaleur! Annuelles, vivaces et autres types de végétaux Après vous être trempé les pieds dans la piscine, c’est le temps de mettre les mains dans la terre et de jardiner! Mais alors que vous plantez un cactus vivace (eh oui, certaines variétés de cette plante succulente résistent aux hivers canadiens), vous vous enfoncez une épine dans le pouce… Aïe! Plantes médicinales, venez à la rescousse pour soigner ce pauvre pouce vert! Vous voulez savoir comment on appelle ces types de végétaux en anglais? Et d’autres comme les annuelles, les conifères et les couvre-sols? Le jeu Jardinage 101 : Les types de végétaux tombe à pic. À vous de piocher dans votre matière grise maintenant! IVNI : insectes volants non identifiés Bourdon, faux-bourdon, abeille, guêpe, frelon, taon, c’est du pareil au même pour vous? Ça pique et ça fait mal, n’est-ce pas? Bzzzzzzzzzz, eh bien, consolez-vous, vous n’êtes pas seul à mettre toutes ces bestioles dans le même panier. Le jeu Insectes volants rayés jaune et noir devrait vous aider à ne plus les confondre. Et en prime, vous apprendrez leur équivalent en anglais. Un beau voyage au pays des insectes vous attend! J’espère que la présentation de ces jeux du Portail linguistique a « piqué » votre curiosité au point de tous les essayer! Dites-moi si vous les avez aimés dans les commentaires. Par la même occasion, j’aimerais bien recevoir vos idées de jeux sur la langue!
Source : Blogue Nos langues (billets de collaborateurs)
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