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Results 1 to 10 of 41 (page 1 of 5)

Le français des médias sociaux : pour éviter de « tweeter des hashtags »

Billet de blogue en français présentant les mots français qui décrivent les réalités des médias sociaux.Si je vous parle de créer des « hashtags » et de « tweeter », vous me comprenez sûrement. Et si j’utilisais les bons termes français? Vous créeriez alors des « mots-clics » et vous publieriez des « gazouillis ». Voilà des mots moins courants pour la majorité des adeptes des médias sociaux! Les médias sociaux servent principalement à faciliter le partage de contenu, la collaboration et l’interaction sociale, mais ils ont un langage bien à eux qui peut être un obstacle à celui qui l’ignore. Ce langage est apparu d’abord en anglais… mais n’allons pas croire qu’il est impossible de parler de médias sociaux en français! Voici un tableau utile qui vous aidera à intégrer le français à votre univers social en ligne… ou en personne!   Petit lexique français-anglais des médias sociaux Terme français Terme anglais Définition Source : Lexique des médias sociaux du Bureau de la traduction. 1 Définitions de mon cru. clavardage (nom masculin) chatting Conversation textuelle en temps réel sur Internet.1 désamicaliser; décopiner; amiradier unfriend Retirer une personne de sa liste de contacts.1 données de géomarquage (nom féminin pluriel) geotagging data Renseignements associant un lieu à des photos, à des vidéos, à des messages, etc.1 émoticône (nom féminin); binette (nom féminin) emoticon; smiley Symbole ou image dans un message qui exprime l’humeur de son auteur. étiquette (nom féminin) tag Mot-clé attribué à une photo, à une vidéo ou à un texte pour caractériser son contenu ou identifier une personne. Nota : Le terme utilisé sur Facebook est « identification ». externalisation ouverte (nom féminin); externalisation à grande échelle (nom féminin) crowdsourcing Pratique qui consiste à faire appel à la créativité, à l’intelligence et au savoir-faire des internautes pour mener à bien une activité particulière. fil d’actualités (nom masculin) home timeline Sur Twitter, flux chronologique de tous les gazouillis provenant des gazouilleurs auxquels est abonné un utilisateur. fil de nouvelles (nom masculin) news feed Sur Facebook, le fil de nouvelles comprend des mises à jour de statuts, des vidéos, des photos, etc. gazouilleur (nom masculin), gazouilleuse (nom féminin) twitterer; tweeter Utilisateur de la plateforme de microblogage Twitter. gazouillis partagé (nom masculin) retweet; RT Sur Twitter, gazouillis qu’un utilisateur fait suivre à ses abonnés. mise à jour de statut (nom féminin) status update Nouvelle publication affichée dans le profil personnel.1 Nota : Terme utilisé sur Facebook. mot-clic (nom masculin); mot-dièse (nom masculin) hashtag Mot-clé, série de mots-clés ou thème précédé du symbole numéro (dièse ou croisillon) servant à indexer et à classer du contenu. pseudonyme (nom masculin); pseudo (nom masculin) handle; nickname Alias ou forme abrégée du nom d’un internaute. publication (nom féminin) post Tout élément publié sur une plateforme de média social, y compris du texte, des images, des vidéos et des enregistrements audios. se connecter; ouvrir une session log in; sign in Commencer une session; activer la connexion à son compte.1 se déconnecter; fermer une session log out; sign out Mettre fin à la session en cours; couper la connexion à son compte.1 vidéoblogue (nom masculin); vlogue (nom masculin); blogue vidéo (nom masculin) video blog; vlog; videoblog Blogue diffusé sous forme de vidéo.1 wikipédiste (nom); wikipédien (nom masculin), wikipédienne (nom féminin) wikipedian Personne qui rédige ou modifie des articles sur Wikipédia. Pour une liste plus complète, je vous invite à consulter le Lexique des médias sociaux dans TERMIUM Plus®. Il s’avère un outil précieux pour tous les utilisateurs des médias sociaux. Maintenant que vous avez découvert tout ce beau vocabulaire français des médias sociaux, croyez-vous l’intégrer à vos messages? Parlez-nous de vos impressions dans les commentaires!
Source: Our Languages blog (posts from our contributors)
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Les 5 meilleurs outils gratuits de recherche terminologique 2.0

Billet de blogue sur les outils de recherche terminologique 2.0, rédigé par Olivier Doré.Vous ne trouvez pas ce que vous cherchez dans votre dictionnaire préféré? Pas de panique! Avant de courir consulter les ouvrages de référence à la bibliothèque du coin, ouvrez votre navigateur Web favori sur votre ordinateur ou votre appareil mobile. Poursuivez ensuite votre lecture pour découvrir, ou redécouvrir, 5 outils informatiques gratuits qui vous permettront de trouver les mots justes en quelques clics. TERMIUM Plus® TERMIUM Plus®, c’est probablement l’un des outils les plus utiles dans le contexte bilingue canadien. Il s’agit en fait de la banque de données terminologiques et linguistiques officielle du gouvernement du Canada. Vous cherchez à connaître la définition d’un terme ou son équivalent officiel en anglais, en espagnol, ou même en portugais? TERMIUM est l’outil qu’il vous faut! Banque de dépannage linguistique Est-ce qu’on dit « montrer » ou « démontrer »? « Chercher » ou « rechercher »? « Juridique », « judiciaire » ou « légal »? Les réponses à toutes ces questions se trouvent (et se retrouvent) dans la Banque de dépannage linguistique (BDL) de l’Office québécois de la langue française. La BDL vous offre également des articles sur la grammaire, la typographie, les abréviations, la syntaxe et plus encore. Concordanciers Tout d’abord, savez-vous ce qu’est un concordancier? C’est un outil qui permet d’afficher un mot ou une expression dans son contexte au sein d’une banque de textes originaux et traduits déjà publiés sur le Web. Il en existe plusieurs, dont TradooIT et Linguee. Ce qui est bien avec TradooIT, c’est qu’il regroupe les résultats semblables et les présente de manière à ce que l’on repère facilement et rapidement la traduction désirée. Vous pouvez également filtrer les résultats selon leur source ou selon la forme de l’expression originale (p. ex. en majuscules ou avec un trait d’union). L’avantage de Linguee, c’est qu’en plus de la partie concordancier, il comprend également une partie dictionnaire bilingue. Vous pouvez ainsi traduire l’expression recherchée en traitant séparément chacun des mots qui la composent, ou encore en la considérant comme un tout. Recherche avancée de Google Si vous avez déjà fait des recherches sur Internet, vous connaissez probablement le moteur de recherche Google. Ses fonctions de recherche avancée vous permettront de préciser, et donc d’optimiser, votre recherche. Vous trouverez facilement sur le Web des articles qui vous aideront à maîtriser la recherche sur Google. Tableau comparatif Vous vous demandez encore quel outil utiliser? Voici un tableau comparatif pour vous aider. Tableau comparatif des caractéristiques de 5 outils gratuits de recherche terminologique 2.0 Caractéristiques TERMIUM Plus® Banque de dépannage linguistique TradooIT Linguee Recherche avancée de Google Mises à jour régulières Oui Oui Oui Oui Oui Critères de recherche pertinents Oui Ne s’applique pas Non Non Oui Résultats catégorisés par domaine Oui Oui Non Non Non Résultats souvent tirés de sources crédibles Oui Oui Oui Non Non Nombre élevé de résultats Oui Non Oui Oui Oui Possibilité de conserver les résultats en mémoire Oui Non Non Non Non Explications claires et structurées Variable selon la source Non Non Non Non Termes toujours définis ou mis en contexte Non Oui Oui Oui Oui Possibilité de comparer le texte complet dans les deux langues Non Non Oui Non Variable selon la source. La plupart des pages provenant de sites Web du gouvernement du Canada sont disponibles aussi bien en français qu’en anglais, ce qui permet de les comparer. Beaucoup de mots nouveaux et « à la mode » Non Non Oui Oui Oui À la fois dictionnaire et concordancier Non Non Oui Oui Non Application mobile gratuite Non Non Non Oui Non Si vous ne trouvez toujours pas ce que vous cherchez, peut-être l’expression ou le terme que vous recherchez sont-ils mal orthographiés. Sachez toutefois que beaucoup d’autres outils, gratuits comme payants, sont également disponibles en ligne. Et vous, quels sont vos outils de recherche terminologique 2.0 préférés?
Source: Our Languages blog (posts from our contributors)
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Apprendre une langue seconde : ce n’est pas ma surdité qui m’en empêchera

Billet de blogue en français dans lequel une personne sourde explique comment elle a appris l’anglais et donne des conseils pour apprendre une langue seconde quand on est malentendant.Ah! L’anglais, cette belle langue! Il est parfois difficile pour les personnes ayant un handicap auditif de surmonter les défis et les enjeux que présente l’apprentissage de l’anglais comme langue seconde. Je suis une personne sourde (surdité sévère à profonde) et je porte des appareils auditifs depuis l’âge de deux ans. La plupart du temps, les personnes malentendantes au Québec sont exemptées d’apprendre l’anglais, car elles doivent faire l’apprentissage du français dès le jeune âge avec l’orthophonie. Autrement dit, nous devons apprendre les sons, apprendre à prononcer les mots correctement et apprendre à survivre dans un monde d’entendants où tout va vite. Donc, l’apprentissage d’une langue seconde nous devient insurmontable, voire impossible. Par contre, mes parents ont persévéré et j’ai eu à l’école des cours d’anglais. J’ai eu beaucoup de difficultés, mais j’ai remonté mes manches et je suis arrivée à réussir les tests d’admission pour le gouvernement! J’aimerais donc partager avec vous des trucs trouvés sur le net et des trucs du quotidien qui aident à mieux comprendre l’anglais et à mieux réussir les tests d’entrée pour le gouvernement. Trucs et ressources Tout d'abord, les personnes ayant une situation de handicap ont la chance d’avoir l’Unité d’adaptation en matière d’évaluation. Il est important de savoir que cette précieuse aide existe! Il faut tout simplement indiquer dès le départ du processus d’embauche que nous avons un handicap, peu importe lequel, et nous avons LE DROIT de bénéficier de mesures d’adaptation pour mieux réussir les tests d’admission en langue seconde. La page de l’Unité d’adaptation en matière d’évaluation contient de l’information et des outils d’adaptation. Par la suite, je vous conseille d’écouter la télévision en anglais, de lire des livres en anglais et d’acheter un dictionnaire bilingue. Vous pouvez aussi participer à des échanges animés avec d’autres personnes qui veulent apprendre l’anglais et vous inscrire à des cours offerts par votre ville. Ces activités sont souvent gratuites! De plus, je vous recommande le site AnglaisFacile.com, un site Internet complètement gratuit qui regorge de trucs et astuces. Il m’a permis de mieux comprendre l’anglais et de faire des pré-tests pour m’exercer. Il existe aussi plusieurs applications pour apprendre l’anglais avec nos téléphones cellulaires, comme Babbel – Cours de langues ou encore Duolingo. Ce sont des applications faciles qui permettent d’apprendre les bases en anglais. Ces applications sont utiles lorsque nous voyageons et que nous devons demander de l’aide ou notre chemin! Il est aussi conseillé de se procurer des logiciels comme Rosetta Stone, qui sont dispendieux, mais fort pertinents pour mieux apprendre l’anglais. Ce logiciel vous permet de mieux cerner votre niveau de départ et de vous perfectionner afin d’atteindre des niveaux experts. Mon conseil est tout simplement de s’amuser en apprenant une nouvelle langue et de se dire qu’on est capable, même si on a un handicap auditif! Les gens sont compréhensifs. Surtout, il ne faut pas se mettre des barrières et se dire qu’on ne sera jamais capable de passer les tests de langues pour la fonction publique! Car tout est possible et si j’ai réussi, VOUS êtes capables! Bon apprentissage!
Source: Our Languages blog (posts from our contributors)
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Traduction et technologie : un portrait d’hier à aujourd’hui

Billet de blogue sur la façon dont la technologie et la révolution informatique ont changé le travail des traducteurs.« Une machine peut faire le travail de 50 hommes ordinaires. Aucune machine ne peut faire le travail d’un homme extraordinaire. » (Elbert Hubbard, écrivain américain, 1856–1915) Les robots arrivent! Les robots arrivent! Du moins, c’est ce que nous disent les médias. Dans de nombreux emplois, comme celui d’avocat ou de travailleur à la chaîne, les robots commencent à dépasser les humains et prendront bientôt leur place. Et les traducteurs sont eux aussi dans la ligne de mire des robots. Cela signifie-t-il que nous perdrons notre gagne-pain dans quelques années? Je n’en suis pas si sûr.   La lente évolution de la traduction automatique Dans les années 1950, les premiers informaticiens ont cru pouvoir appliquer à la traduction les techniques de décryptage utilisées avec succès durant la Seconde Guerre mondiale. Ils se disaient qu’après tout, les langues n’étaient qu’un autre type de code. Ces scientifiques croyaient qu’il suffirait de quelques années pour trouver le graal (le poisson Babel ou la machine à traduire universelle) et que plus personne n’aurait jamais besoin des services d’un interprète ou d’un traducteur. Ils y travaillent encore 70 ans plus tard. Mais cela ne veut pas dire que leurs travaux n’ont rien changé dans le monde de la traduction. En fait, à peu près tout a changé. Les ordinateurs, puis Internet, ont révolutionné le domaine, augmentant ainsi le volume de production des traducteurs et la qualité des traductions. Un portrait « avant-après » Faisons une rapide comparaison de la traduction dans un contexte gouvernemental avant et après la révolution informatique. La colonne de gauche décrit l’étape du processus de traduction. La colonne du centre montre comment les choses se passaient avant, selon ce que m’ont dit mes… comment dirais-je… collègues qui ont plus d’expérience de vie. La colonne de droite montre la pratique actuelle. Portrait du processus de traduction avant et après la révolution informatique Étape du processus Âge de pierre Ère de l’information Envoi du document à la division de la traduction Le client envoie un document dactylographié par courrier interne à la division de la traduction. Le client télécharge un document numérique vers le serveur de la division de la traduction ou l’envoie par courriel. Conservation et consultation de versions antérieures du même document Le traducteur ouvre son classeur pour trouver des textes similaires ou des versions précédentes du même texte et les met sur un support à documents pour les consulter. Un logiciel compare le texte du document au contenu d’une base de données de traductions antérieures. Les correspondances exactes peuvent être insérées automatiquement dans le texte à traduire. Le traducteur peut consulter la base de données et voir les textes alignés côte à côte. Utilisation de dictionnaires Le traducteur cherche des mots dans des dictionnaires papier. Le traducteur saisit des mots dans des dictionnaires électroniques. Utilisation de banques de termes Le traducteur consulte une banque de termes en feuilletant un catalogue sur fiches. Le traducteur cherche des termes dans une base de données terminologiques en ligne. Consultation de documents de référence Le traducteur se rend à la bibliothèque pour consulter une sélection limitée de sources fiables et de textes comparables. Le traducteur navigue sur Internet pour consulter une quantité quasi infinie de renseignements et de textes comparables. Révision Le traducteur tape à la machine l’ébauche de sa traduction avant de la relire sur papier. Le traducteur tape sa traduction dans un logiciel de traitement de texte et la révise à l’écran. Préparation de la version finale La copie papier annotée est donnée à un dactylo, qui tape la version finale. La version finale est sauvegardée numériquement. Envoi de la traduction au client La traduction finale est envoyée au client par courrier interne. Le client est avisé que la traduction est prête. Il peut télécharger le fichier à partir du serveur de la division de la traduction ou le recevoir par courriel. Les avantages pour les traducteurs d’aujourd’hui Cette liste fait état d’une partie seulement des nombreux outils informatiques qu’utilisent les traducteurs dans leur travail. J’aime penser que l’interaction entre la traduction et la technologie peut être mesurée sur une échelle allant de 0 (papier et stylo) à 10 (traduction entièrement automatisée). Le plus grand avantage des avancées technologiques des dernières décennies est peut-être simplement la variété de possibilités qu’offre cette échelle. Cette abondance d’options nous permet d’utiliser la technologie qui fonctionne le mieux pour nous ou pour la tâche à accomplir. Même si la recherche du graal de la traduction automatique fait les manchettes, le plus souvent, la technologie d’aujourd’hui est mise au service du traducteur humain, qui peut livrer un meilleur produit en moins de temps. En bref, les robots arrivent, c’est bien vrai, mais assez lentement. Et notre expérience nous démontre qu’ils sont nos amis. Et vous, quel est le principal avantage (ou inconvénient) de la technologie langagière dans votre vie? Exprimez votre opinion dans un commentaire. Traduit par Safia Lasfar, Portail linguistique du Canada
Source: Our Languages blog (posts from our contributors)
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Médias sociaux en français 1

Jeu où il faut associer le terme anglais au bon terme français.Les médias sociaux ont un vocabulaire bien à eux. En français, les mots employés dans la langue courante sont souvent empruntés de l'anglais. Pourtant, des néologismes existent pour de nombreux termes et plusieurs d'entre eux s'implantent peu à peu dans l'usage. Les connaissez-vous?Pour chaque terme anglais, donnez le terme français équivalent.1. tweetertweeteurgazouilleurtwiteur2. app appliapplogiciel3. mobile Internet userutilisateur de Web mobilemobinautewebnaute4. live-tweetgazouiller en temps réeltweeter en temps réeltweeter en direct5. post (nom) (sur Facebook)postarticlepublication6. emoticonbinettebonhomme sourireémoticon7. wikipedianwikicollaboencyclowikipédistewikipédiste8. tweet clashaffrontement de gazouilleurschicane virtuelleprise de bec9. webcastingwebdiffusionwebémissiondiffusion réticulaire10. uploadcharger vers l'amontuploadertéléverser  
Source: Quizzes on the Language Portal of Canada
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La francophonie, c’est aussi le tourisme

Billet de blogue en français présentant Le Corridor Canada, un site et une application destinés à aider les touristes à visiter le Canada en français.En toutes saisons, et d’un océan à l’autre, le Canada regorge de coins merveilleux à découvrir. Mais savez-vous qu’il est désormais possible de visiter le pays de part en part en profitant de services en français tout le long du parcours? Permettre aux voyageurs de visiter tout le Canada en français, c’est le défi qu’a relevé le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE Canada) lorsqu’il a établi Le Corridor Canada. Le Corridor est un ensemble d’éléments patrimoniaux et de produits culturels et touristiques francophones du Canada, qui ont été sélectionnés pour proposer aux visiteurs d’ici et d’ailleurs des services en français. Les entreprises participant au Corridor Canada offrent des services qui correspondent au minimum à l’un des trois niveaux de la classification nationale des services en français : services en français en tout temps services en français sur demande articles promotionnels et/ou documentation en français Cette classification a été créée dans le but d’informer le visiteur du niveau de service qu’il obtiendra sur les sites touristiques. Savez-vous que le marché du tourisme francophone a un potentiel d’au moins 307,2 millions de francophones et de francophiles? Le Canada compte plus de 10 millions de personnes qui parlent le français et qui contribuent au tourisme dans les communautés francophones et acadienne (7,6 millions au Québec et 2,7 millions ailleurs). Les marchés francophones internationaux moteurs sont la France, la Belgique et la Suisse. Pour attirer des touristes francophones de ces pays, il faut : offrir un accueil et des services en français valoriser le patrimoine et la culture franco-canadiens faire connaître les communautés francophones et acadienne Le Corridor Canada, accessible sur le Web ou grâce à une application pour téléphone intelligent, regroupe environ 400 entreprises participantes. Vous pouvez construire votre parcours sur une base géographique, par province et territoire. Vous pouvez aussi flâner selon vos envies de visites et vous laisser guider en suivant un itinéraire de tourisme culinaire, d’exploration urbaine, au fil de l’eau ou de festival en festival… La page de chaque entreprise participante est largement illustrée par de nombreuses photos et parfois même par des vidéos, ce qui vous donnera assurément le goût du voyage. Vous pourrez situer aisément chaque entreprise sur une carte et l’ajouter à vos favoris pour créer votre parcours personnalisé. La section « Blogue » du site du Corridor fourmille de conseils en tous genres, regroupés par saisons, proposant des activités pour les familles, les couples, les randonneurs, les aventuriers… Tous y trouveront de quoi satisfaire leurs envies de sorties, de découvertes et d’exploration du territoire canadien. Et bien entendu, Le Corridor est présent sur les réseaux sociaux avec des photos plus belles les unes que les autres. Que vous soyez touriste d’un jour ou explorateur toujours, Le Corridor sera une source inépuisable d’inspiration d’un bout à l’autre du pays… et en français s’il vous plaît! window.onload = function() { var oldHTML = document.getElementById('etiquette').innerHTML; var newHTML = oldHTML + "le "; document.getElementById('etiquette').innerHTML = newHTML; }
Source: Our Languages blog (posts from our contributors)
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Au menu : des études en environnement (ou en histoire, en arts visuels ou dans tout autre domaine) garnies de compétences linguistiques

Billet de blogue en français sur l’enseignement de compétences linguistiques à des étudiants de domaines qui ne sont pas liés aux langues.En tant que professeure à l’École de traduction et d’interprétation de l’Université d’Ottawa, j’ai l’habitude de préparer des cours regorgeant de compétences linguistiques essentielles, assaisonnés de conseils grammaticaux et généreusement garnis de vocabulaire bilingue. Et les étudiants en redemandent presque toujours! Bien sûr, les étudiants qui s’inscrivent à des programmes ou à des cours de traduction cherchent activement ce genre de connaissances. Pour eux, la langue est le mets principal. Mais qu’en est-il de ceux qui étudient dans d’autres domaines? Pourraient-ils profiter d’une « portion » de compétences linguistiques pour accompagner leur mets principal? Et quelle serait la meilleure façon de la servir? Plus tôt cette année, j’ai eu l’occasion de participer à l’enseignement d’un cours assez différent de mon menu habituel, offert dans le cadre du programme interdisciplinaire de la Faculté des arts. J’ai eu la chance de collaborer avec une collègue de l’École des sciences de l’information à la conception et à la prestation d’un cours intitulé « New Literacies for the Digital Age » (Nouvelles littératies à l’ère numérique). Destiné aux étudiants de tous les programmes de la Faculté des arts, ce cours est essentiellement conçu pour les aider à développer leur culture de l’information et leur habileté numérique. Lorsque j’ai donné conjointement le cours, 80 étudiants de 13 programmes différents s’y étaient inscrits. Leurs spécialités étaient aussi variées que les études environnementales, l’histoire, la philosophie, les arts visuels et la musique. Le défi : offrir des compétences linguistiques savoureuses pour des étudiants de baccalauréats non liés aux langues. Au menu Même une petite quantité de connaissances linguistiques peut nous faire faire un bon bout de chemin sur le plan de la culture de l’information et de l’habileté numérique. Voici comment nous avons intégré des compétences linguistiques dans le cours « Nouvelles littératies à l’ère numérique » : Chercher efficacement Les termes que vous entrez dans un moteur de recherche peuvent avoir une grande influence sur la pertinence de l’information que vous obtenez. Même des détails qui peuvent sembler anodins, comme la ponctuation, l’orthographe et l’utilisation des majuscules, peuvent avoir une incidence sur les résultats de la recherche. Bien choisir les termes de recherche, tout comme comprendre la syntaxe afin de formuler correctement une recherche, peut vous aider à trouver des renseignements qui répondent à vos besoins. Évaluer l’information La qualité de la langue n’est pas le seul indicateur de la qualité de l’information, mais il s’agit assurément d’un facteur à prendre en considération. Lorsqu’un site Web ou un courriel sont parsemés d’erreurs d’orthographe ou de grammaire, il vaut la peine de se pencher plus en détail sur la crédibilité de cette source d’information. La plupart des sources d’information fiables ont des processus de contrôle de qualité qui comprennent la révision linguistique. Bien sûr, quelques petites erreurs peuvent toujours se glisser, mais si vous recevez un courriel criblé de fautes, il est possible que ce soit un pourriel ou un courriel d’hameçonnage. De même, si le contenu d’un site Web est mal rédigé, ce n’est peut-être pas une des sources les plus fiables à consulter lorsque vous rédigez un essai. Développer la littératie de la traduction automatiqueNote * Avec la montée de la mondialisation, de plus en plus de gens utilisent la traduction automatique. Rapide, pratique et gratuite, la traduction automatique en ligne est un moyen efficace d’obtenir un aperçu du contenu offert dans d’autres langues. Toutefois, cette technologie est loin d’être parfaite et il vaut mieux se préparer pour l’utiliser de façon informée, en faisant preuve de sens critique. Le module sur la littératie de la traduction automatique aide les étudiants qui n’ont pas de connaissances en traduction à comprendre le fonctionnement de la traduction automatique, ses points forts et ses points faibles, les situations qui s’y prêtent et celles qui s’y prêtent moins, de même que les façons d’interagir avec cette technologie pour améliorer la qualité des résultats. Recette du succès Savoureuses et nutritives, les compétences en langues font presque toujours un excellent plat d’accompagnement. Avez-vous des idées de façons d’apprêter les trucs et astuces linguistiques à l’intention des non-langagiers? Si oui, n’hésitez pas à publier vos recettes dans les commentaires. Traduit par Simon-Pierre Harvey, Portail linguistique du Canada Notes Note * Pour en apprendre davantage sur la littératie de la traduction automatique, lisez mon billet : « Traduction automatique : une nouvelle forme de littératie à l’ère du numérique ». Retour à la référence de la note *
Source: Our Languages blog (posts from our contributors)
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Comment parler Agile

Billet de blogue en français expliquant dans quels cas il faut mettre la majuscule et la minuscule au mot « agile », à la mode dans les domaines de l’informatique et de la gestion.Dans un article précédent, Comment parler Scrum (s’ouvre dans un nouvel onglet), je vous expliquais que Scrum est un cadre de travail agile. « Agile »... ce mot semble maintenant utilisé à toutes les sauces. En lisant, en rédigeant, en traduisant ou en révisant un document, peut-être vous êtes-vous déjà demandé si une équipe, une méthode ou une gestion pouvait être « agile ». Ou peut-être vous êtes-vous déjà demandé d’où venait l’« agilité » dont tout le monde est de plus en plus friand, les gestionnaires en particulier. Philosophie Agile Le terme « Agile », avec un grand « A », désigne une philosophie de gestion de projet qui s’appuie sur des principes. Au nombre de 12, ces principes sont énoncés dans un document qui se trouve en ligne, traduit en plusieurs langues, et qui s’intitule en français : « Manifeste pour le développement Agile de logiciels (s’ouvre dans un nouvel onglet) ». Le manifeste est signé par 17 spécialistes du développement de logiciel qui voulaient trouver une façon de remplacer le processus traditionnel de gestion de projet, souvent rigide. D’où sans doute l’utilisation du mot « Agile ». En effet, les principes de la philosophie Agile sont axés sur les personnes, les produits, la collaboration et le changement plutôt que sur les processus, la documentation, la négociation et le suivi. Par ailleurs, comme l’indique le titre du manifeste, la philosophie Agile s’appliquait au départ à la gestion de projets informatiques. Néanmoins, elle s’étend de plus en plus à la gestion de projet en général. Être ou ne pas être agile Peut-on utiliser l’adjectif « agile » pour désigner une gestion de projet qui repose sur les principes du manifeste? Dans la langue spécialisée, plus précisément dans les domaines de l’informatique et de la gestion, le Grand dictionnaire terminologique (s’ouvre dans un nouvel onglet) de l’Office québécois de la langue française ainsi que TERMIUM Plus® (s’ouvre dans un nouvel onglet), dans le Portail linguistique du Canada, recensent le terme « agile » comme adjectif. Dans la langue générale, l’adjectif « agile » désigne une chose ou une personne qui est habile physiquement, qui manifeste de la souplesse dans l’exécution de ses mouvements ou de ses déplacements. Au sens figuré, il a le sens de « prompt dans les opérations intellectuelles ». Le Grand Robert de la langue française répertorie des expressions telles que « une pensée agile », « un cerveau agile » et « une improvisation agile ». Parler de « méthode agile » et de « gestion agile » est donc tout à fait possible. Il est aussi intéressant de noter que l’adjectif « agile » a le même sens en français et en anglais. Les auteurs du manifeste – tous anglophones – ont jugé que cet adjectif pourrait servir à bien énoncer leur concept. N’oublions pas qu’il a été choisi par opposition à « rigide » (cadre de gestion rigide). Avec ou sans majuscule Nous l’avons vu, le terme « agile » est répertorié dans les outils de langue spécialisée et de langue générale. Le choix de la forme nominale ou adjectivale dépendra de l’intention du texte. D’une part, le mot « Agile », avec un grand « A », a une valeur de nom propre : il s’agit d’une appellation officielle. Celle-ci permet de faire explicitement référence à la philosophie de développement de produit décrite dans le manifeste, par exemple « la philosophie Agile » ou « un consultant Agile ». D’autre part, l’adjectif « agile », avec un petit « a », appartient à la langue courante et permet donc d’établir une relation entre un nom commun et la philosophie Agile, par exemple « un développement agile » ou « un cadre de travail agile ». À employer avec « agilité » Voilà, j’espère que ce survol vous aidera à faire une utilisation plus agile de ces notions. Si vous connaissez d’autres sources sur le sujet, je vous invite à les indiquer dans les commentaires ci-dessous.
Source: Our Languages blog (posts from our contributors)
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Termes informatiques : décryptez l'orthographe

Jeu dans lequel il faut trouver la bonne façon d'orthographier des termes informatiques.Le domaine de l'informatique est en constante évolution, d'où le besoin de créer des mots pour nommer les nouvelles réalités.Les phrases suivantes comportent des mots dont l'orthographe peut être embêtante. À vous de trouver la bonne façon de les écrire.1. J'ai rédigé un long .courielcourriel2. L' est une technique qu'utilisent les fraudeurs.hameçonagehameçonnage3. Je dois installer un pour protéger mon ordinateur.logiciel antiviruslogiciel anti-virus4. Il a été accusé d'.usurpation d'identitéussurpation d'identité5. Les sites de social sont de plus en plus populaires.résautageréseautage6. Avez-vous déjà été victime d' sur Internet?escroquerieescrocquerie7. Il est possible d'imprimer votre .carnet d'addressescarnet d'adresses8. Certains logiciels permettent de des fichiers protégés.décrypterdécripter9. Un empêche les intrus d'accéder à votre ordinateur.pare feupare-feu10. J'utilise un pour visualiser des pages Webnavigateurnaviguateur  
Source: Quizzes on the Language Portal of Canada
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Le Carrefour des langues officielles® fait son entrée dans le Portail

Billet de blogue en français présentant le Carrefour des langues officielles®, un outil de recherche donnant accès à des ressources du gouvernement du Canada liées aux langues officielles.L’équipe du Portail linguistique du Canada est fière de vous annoncer le lancement d’un tout nouvel outil : le Carrefour des langues officielles®. Cet outil de recherche, entièrement consacré aux langues officielles, est le fruit d’une collaboration entre sept organisations fédérales : le Centre d'excellence en langues officielles du Secrétariat du Conseil du Trésor, Patrimoine canadien, le Commissariat aux langues officielles, l’École de la fonction publique du Canada, la Commission de la fonction publique, le Conseil du Réseau des champions des langues officielles et le Bureau de la traduction de Services publics et Approvisionnement Canada. Permettez-moi, chers lecteurs, de vous en donner un aperçu. Pourquoi un outil de recherche Avoir toute l’information dont nous avons besoin à portée de main, c’est ce que nous souhaitons tous afin de gagner du temps et d’être le plus efficace possible. C’est dans cette optique que nous avons élaboré le Carrefour des langues officielles®. Nous voulions que les utilisateurs puissent trouver, en un seul endroit, diverses ressources gouvernementales répondant à leurs besoins précis en matière de langues officielles. À titre d’exemple, supposons que vous souhaitez organiser une réunion bilingue. Le Carrefour des langues officielles® vous simplifiera la vie en vous proposant divers liens utiles. Vous cherchez la Politique sur les langues officielles ou encore la Directive sur les langues officielles pour les communications et services? Vous n’aurez plus à consulter divers sites Web pour les trouver; une simple recherche dans le Carrefour suffira. Et si vous ne trouvez pas tout de suite l’information voulue, vous pourrez utiliser les filtres afin de préciser davantage votre recherche. En plus d’offrir une fonction de recherche par mots clés, comme les moteurs de recherche traditionnels, le Carrefour offre également une fonction de recherche par thème, qui permet de trouver toutes les pages associées au thème qui vous intéresse, que ce soit l’apprentissage, les communautés de langue officielle en situation minoritaire ou encore la prestation de services. Le Carrefour des langues officielles® est facile d’accès et simple à utiliser. Que vous travailliez dans la fonction publique, un organisme communautaire, le milieu de l’éducation ou une entreprise privée, il saura répondre à vos besoins. Tentez l’expérience en recherchant les expressions suivantes : bilinguisme Loi sur les langues officielles formation linguistique anglais langue seconde minorité linguistique dualité linguistique D’où vient l’idée En 2016, le greffier du Conseil privé et secrétaire du Cabinet a demandé à Patrick Borbey (actuel président de la Commission de la fonction publique, à l’époque sous-ministre délégué à Patrimoine canadien) et à Matthew Mendelsohn (sous-secrétaire du Cabinet, Résultats et livraison) de mener une enquête sur l’état du bilinguisme dans la fonction publique fédérale. De cette enquête est ressorti le rapport Le prochain niveau : Enraciner une culture de dualité linguistique inclusive en milieu de travail au sein de la fonction publique fédérale, dont les recommandations sont résumées dans le Tableau de bord sur le statut des recommandations en matière de langue de travail. C’est pour répondre à l’une des recommandations du rapport qu’un groupe de travail a été chargé d’élaborer le Carrefour des langues officielles®. Son lancement a coïncidé avec le 50e anniversaire de la Loi sur les langues officielles et le 10e anniversaire de la Journée de la dualité linguistique. Vous êtes à la recherche de pratiques exemplaires en matière de langues officielles? Vous souhaitez orienter vos employés vers des outils d’apprentissage en langue seconde? Ajoutez l’incontournable Carrefour des langues officielles® à vos favoris!
Source: Our Languages blog (posts from our contributors)
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