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Si l’expression seconde chance ne convient pas dans tous les contextes, il n’y a cependant pas lieu de la condamner de façon systématique.
En effet, seconde chance est attesté dans le sens de « chance offerte à quelqu’un qui a échoué une première fois ». Mais on hésiterait à l’employer pour traduire l’anglais second chance, dans une phrase comme :
- En 1993, les greffes de moelle osseuse ont donné une seconde chance à plus de 4000 Canadiens. / In 1993, bone-marrow transplants gave more than 4000 Canadians a second chance at life.
Il est plus idiomatique d’écrire :
- En 1993, les greffes de moelle osseuse ont sauvé la vie à plus de 4000 Canadiens.
- En 1993, les greffes de moelle osseuse ont redonné espoir à plus de 4000 Canadiens.
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