Un doukhobor est le membre d’une secte qui fit son apparition en Ukraine à la fin du 18e siècle et qui, à la suite de persécutions, émigra en grande partie en Saskatchewan dans les dernières années du 19e siècle et, plus tard, en Colombie-Britannique.
Le mot devrait en principe s’écrire avec une minuscule, comme catholiques ou protestants :
- des doukhobors
On ne rencontre pas de forme féminine :
- J.C. Wright, le seul auteur à ma connaissance qui ait fait revivre la tragédie doukhobor au Canada, prétend qu’il ne leur restait plus en commun que le bortsch, les bains à la vapeur et les cornichons à l’aneth. (G. Roy)
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