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Results 1 to 5 of 5 (page 1 of 1)

Première(s) Nation(s) (Recommandation linguistique du Bureau de la traduction)

Recommandation linguistique du Bureau de la traduction sur la façon d’écrire le terme Première(s) Nation(s) en français et le terme First Nation(s) en anglais.
Afin d’uniformiser l’écriture du terme Première(s) Nation(s) au sein de la fonction publique fédérale, le Bureau de la traduction recommande ce qui suit. Écriture du terme Première(s) Nation(s) en français Majuscule ou minuscule Le terme Première(s) Nation(s) est considéré comme un nom propre et les deux mots qui le composent prennent la majuscule : les droits fondamentaux des Premières Nations la première entente définitive conclue par une Première Nation du Yukon ces Premières Nations les Premières Nations de Hollow Water et des Dénés Yellowknives Cette graphie est conforme à la règle selon laquelle on met une majuscule au premier nom d’une dénomination de même qu’à l’adjectif qui le précède, comme dans les exemples suivants : le Nouveau Monde l’Ancien Testament la Première Guerre mondiale le ministère des Anciens Combattants Appellations officielles On respecte toutefois la graphie des appellations officielles existantes (notamment les titres officiels de programmes, d’organismes, de lois et de documents) : Programme forestier des Premières nations Loi sur la compétence des premières nations en matière d’éducation en Colombie-Britannique Premières Nations (« Indiens inscrits et non inscrits du Canada ») Le collectif ethnique Premières Nations désigne, au Canada, le regroupement autochtone composé de nombreuses nations distinctes ayant une origine, une histoire et une culture qui leur est propre, et dont les membres peuplent l’Amérique du Nord depuis des temps immémoriaux. Le terme exclut les Inuits et les Métis. Au Canada, pour désigner à la fois les Premières Nations, les Inuits et les Métis, on emploie le terme Autochtones. Première Nation (au sens de « bande ») Le terme Première Nation a le sens de « bande » : chaque Première Nation les Premières Nations dont le nom figure à l’annexe En règle générale, on le fait suivre de la préposition de ou des, selon le cas : Première Nation de + nom de lieu : la Première Nation de Hollow Water Première Nation des + nom de peuple : la Première Nation des Dénés Yellowknives Aujourd’hui, plusieurs bandes préfèrent utiliser la désignation Première Nation dans leur dénomination officielle. Écriture du terme First Nation(s) en anglais Majuscule ou minuscule Le terme First Nation(s) est considéré comme un nom propre et prend des majuscules initiales : the fundamental rights of the First Nations a First Nation in the Yukon Territory these First Nations the Hollow Water and Dene Yellowknives First Nations First Nations (« Indiens inscrits et non inscrits du Canada ») Le collectif ethnique First Nations désigne, au Canada, le regroupement autochtone composé de nombreuses nations distinctes ayant une origine, une histoire et une culture qui leur est propre, et dont les membres peuplent l’Amérique du Nord depuis des temps immémoriaux. Il peut s’employer comme nom ou adjectif : First Nations leaders applauded the decision. Le terme First Nations exclut les Inuits et les Métis. Au Canada, pour désigner à la fois les Premières Nations, les Inuits et les Métis, on emploie le terme Indigenous Peoples. First Nation (« bande ») Le terme First Nation a le sens de « bande ». the Glooscap First Nation each First Nation the First Nations listed below Aujourd’hui, plusieurs bandes préfèrent utiliser la désignation First Nation dans leur dénomination officielle.
Source: Clés de la rédaction (French language problems and rules)
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Web (Recommandation linguistique du Bureau de la traduction)

Recommandation linguistique du Bureau de la traduction sur le mot Web.
Sur cette page Règles d’écriture du mot Web en français Majuscule Minuscule Règles d’écriture du mot Web en anglais Majuscule Minuscule Renseignements complémentaires Afin d’uniformiser l’usage au sein de la fonction publique fédérale, le Bureau de la traduction recommande ce qui suit. Règles d’écriture du mot Web en français Majuscule Web employé seul Le mot Web prend la majuscule initiale lorsqu’il est employé seul, en tant que nom. Dans ce cas, il est précédé de l’article le ou du et, le cas échéant, de la préposition dans ou sur : naviguer sur le Web trouver une information dans le Web être un utilisateur du Web Web qui suit un nom Le mot Web prend également la majuscule initiale lorsqu’il est employé après un nom qu’il qualifie. Il est toujours invariable : un site Web un rédacteur Web des pages Web des contenus Web Remarque : Nous recommandons l’emploi de la majuscule dans les cas qui précèdent, mais on rencontre aussi la minuscule dans l’usage : le web des sites web efficaces Minuscule Web utilisé comme préfixe Le mot web peut aussi être utilisé comme préfixe pour former des termes dérivés. Ces termes prennent la minuscule initiale, s’écrivent sans trait d’union et prennent la marque du pluriel. Lorsqu’ils sont employés à la manière d’un adjectif, ils s’accordent avec le nom qu’ils qualifient. la webdiffusion la webtélé une webcaméra un webinaire des webémissions des webmestres webdiffuser; des films webdiffusés webifier; une application webifiée Règles d’écriture du mot Web en anglais Majuscule Web employé seul Le mot Web prend la majuscule initiale lorsqu’il est employé seul, en tant que nom. Dans ce cas, il est précédé de l’article the : watch a video on the Web search the Web Minuscule Mots formés avec web Le mot web prend la minuscule initiale lorsqu’il fait partie d’un mot composé, que celui-ci s’écrive en un seul mot ou en deux mots distincts liés ou non par un trait d’union : web page, web browser, web server web-based, web-enabled website, webinar, webcast, webmaster Remarque : Bien que notre recommandation reflète l’usage récent au Canada et à l’échelle internationale, les anciennes graphies (p. ex. Web page, Web-based) sont encore répandues (en particulier aux États-Unis) et ne sont pas incorrectes. Renseignements complémentaires Voir Internet/Net (Recommandation linguistique du Bureau de la traduction). Voir aussi intranet/extranet.
Source: Clés de la rédaction (French language problems and rules)
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ombudsman (Recommandation linguistique du Bureau de la traduction)

Recommandation linguistique du Bureau de la traduction visant à normaliser l’emploi du terme ombudsman en français et en anglais dans la fonction publique fédérale.
Sur cette page Contexte Emploi du terme ombudsman en français Terme français au pluriel Autres termes employés en français Emploi du terme ombudsman en anglais Terme anglais au pluriel Autres termes employés en anglais La présente recommandation vise à uniformiser l’usage du terme ombudsman au sein de la fonction publique fédérale. Contexte Le concept d’ombudsman est apparu en Suède en 1809, quand le parlement a créé un poste d’« agent du peuple » neutre et indépendant qui avait pour rôle de représenter les citoyens ayant des différends avec le gouvernement. Le mot ombudsman vient des mots suédois ombud, qui veut dire « délégué », et man, qui signifie « être humain ». De nos jours, l’ombudsman peut notamment assumer les responsabilités suivantes : défendre les droits des citoyens en enquêtant sur les plaintes dans les secteurs public et privé; écouter et soutenir les employés qui ont des difficultés liées à l’équité ou à la santé mentale; répondre aux besoins des victimes d’actes criminels; fournir de l’information, des conseils et des mécanismes permettant de régler efficacement et équitablement les griefs et les différends. Emploi du terme ombudsman en français Dans la fonction publique fédérale, le Bureau de la traduction recommande d’employer l’emprunt ombudsman, quel que soit le genre de la personne concernée. Par exemple : Je suis heureuse d’avoir été nommée ombudsman de la santé mentale de notre ministère. Ce rapport fait état des recommandations formulées par l’ombudsman des contribuables. Veuillez adresser vos commentaires au Bureau de l’ombudsman des vétérans. Terme français au pluriel La forme plurielle recommandée en français est ombudsmans. Par exemple : Ces ombudsmans sont appelées à résoudre des différends de nature commerciale. Les ombudsmans examinent les plaintes du public. Autres termes employés en français Bien qu’ombudsman soit le terme recommandé dans le contexte de la fonction publique fédérale, d’autres termes peuvent être employés dans d’autres contextes. Le terme ombud est considéré comme correct, bien qu’il ne s’agisse pas de la forme recommandée dans la fonction publique fédérale. D’autres termes sont employés pour désigner le rôle d’une personne auprès d’une clientèle en particulier. Ils ne décrivent souvent qu’une des diverses fonctions que peut exercer l’ombudsman. Ces termes sont principalement composés avec les mots suivants : protecteur (par exemple : protecteur du citoyen); défenseur (par exemple : défenseur des droits de la personne); médiateur (par exemple : médiateur de l’Université). Le mot ombudspersonne, parfois employé sous l’influence de l’anglais ombudsperson, est à éviter en français. En effet, la finale en –personne n’est pas en usage dans les noms de métiers en français. Emploi du terme ombudsman en anglais Dans la fonction publique fédérale, le Bureau de la traduction recommande d’employer l’emprunt ombudsman, quel que soit le genre de la personne concernée. Par exemple : The role of ombudsman requires impartiality and fairness. This province appointed its first woman ombudsman in the 1980s. The number of complaints submitted to the Office of the Mental Health Ombudsman dropped this year. Terme anglais au pluriel La forme plurielle recommandée en anglais est ombudsmen. Par exemple : A group of consumer ombudsmen are gathered to discuss best practices. The ombudsman association is seeking women ombudsmen to mentor other women interested in the role. Autres termes employés en anglais Bien qu’ombudsman soit le terme recommandé dans le contexte de la fonction publique fédérale, d’autres termes sont aussi corrects. Par exemple, le terme ombudswoman est parfois employé pour désigner une femme ombudsman. Le mot ombudsperson et les formes ombud et ombuds sont également parfois employés comme termes neutres et inclusifs. Ombud et ombuds peuvent tous deux être employés au singulier. Au pluriel, ombud deviendra ombuds, tandis qu’ombuds restera inchangé.
Source: Clés de la rédaction (French language problems and rules)
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audit et termes dérivés (Recommandation linguistique du Bureau de la traduction)

Recommandation linguistique du Bureau de la traduction sur le terme audit et d’autres termes dérivés.
Au Canada, le terme français audit dans le domaine de la comptabilité a longtemps été considéré comme un anglicisme devant être remplacé par vérification. Cependant, à la suite de l’adoption des Normes internationales d’audit (International Standards on Auditing), la situation a changé. En effet, l’établissement de ces normes a entraîné l’adoption d’une terminologie commune, tout d’abord pour l’ensemble des pays de langue anglaise, puis pour la francophonie. Au stade de la traduction des nouvelles normes, un comité d’experts composé de comptables agréés et de membres des Services linguistiques de l’Institut Canadien des Comptables Agréés a été formé pour uniformiser la terminologie en usage dans la francophonie. Une liste de mots clés établie par la Compagnie nationale des commissaires aux comptes de France et l’Institut des Réviseurs d’Entreprises de Belgique a servi de point de départ aux travaux du comité. Cette liste découlait de nombreux compromis issus d’une consultation internationale. Pour diverses raisons, le comité a tranché en faveur du terme audit et de ses dérivés. Équivalent français de audit Le Bureau de la traduction recommande d’employer le nom masculin audit (le « t » final se prononce) comme équivalent français du mot anglais audit dans le domaine de la comptabilité. Cet équivalent a été adopté par l’Institut Canadien des Comptables Agréés et l’Ordre des comptables agréés du Québec. Il a également été retenu dans les Normes internationales d’audit et le Dictionnaire de la comptabilité et de la gestion financière de Louis Ménard. Audit et ses dérivés Le Bureau de la traduction recommande d’employer les termes suivants : Audit et ses dérivés Termes français Termes anglais Définitions audit (n.m.) audit (n.) Étude des documents comptables d’une entité en vue de déterminer s’ils reflètent adéquatement sa situation financière. auditeur (n.m.) auditrice (n.f.) auditor (n.) Personne qui effectue un audit. auditer (v.) audit (v.) Effectuer un audit. Renseignements complémentaires Voir l’article De la vérification à l’audit de Cathryn Arnold et Vincent Halde dans L’Actualité langagière (repris dans les Chroniques de langue), vol. 9, nº 1 (2012).
Source: Clés de la rédaction (French language problems and rules)
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Twitter (terminologie) (Recommandation linguistique du Bureau de la traduction)

Recommandation linguistique du Bureau de la traduction sur la terminologie de Twitter.
De nombreux ministères emploient la plateforme de microblogage Twitter pour communiquer avec les Canadiens et les Canadiennes dans les deux langues officielles. Cette plateforme permet de faire, dans un message d’au plus 280 caractères, la promotion d’événements, de nouvelles ou d’entreprises. En l’absence d’une terminologie française clairement définie, on constate dans l’usage que les termes anglais dérivés de tweet sont francisés, voire simplement repris. Il est essentiel de proposer une terminologie française correcte et uniformisée avant que l’usage ne se fige. Équivalent français de tweet Le Bureau de la traduction recommande d’employer le terme gazouillis comme équivalent français du mot tweet. Cet équivalent a été adopté entre autres par La Presse, Parcs Canada, Développement économique Canada et l’Agence canadienne de développement international. De plus, il évoque l’image de marque de la plateforme de microblogage Twitter : un oiseau. Termes dérivés Le Bureau de la traduction recommande d’employer les termes suivants : Twitter : Termes français, termes anglais et définitions Termes français Termes anglais Définitions gazouillis (n.m.) tweet (n.) Message d’un maximum de 280 caractères diffusé sur la plateforme de microblogage Twitter. gazouiller (v.) tweet (v.) Diffuser un message, nommé gazouillis, sur la plateforme de microblogage Twitter. gazouilleur (n.m.) gazouilleuse (n.f.) tweeter (n.)twitterer (n.) Détenteur d’un compte Twitter qui lit et diffuse des gazouillis. gazouillis partagé (n.m.) retweet (n.) Gazouillis qu’un utilisateur a fait suivre à ses abonnés pour propager sur Twitter des nouvelles ou des trouvailles utiles. partager un gazouillis (v.) retweet (v.) Faire suivre à ses abonnés sur Twitter un gazouillis diffusé par un autre utilisateur. Renseignements complémentaires Pour plus de renseignements, voir l’article Twitter fait gazouiller! de Marjorie Beauchamp dans L’Actualité langagière (repris dans les Chroniques de langue), vol. 8, nº 3 (2011).
Source: Clés de la rédaction (French language problems and rules)
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