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Soumis par Shallale Figaro le 8 février 2024 à 20 h 19

Sophia,

Quelle aventure linguistique passionnante que la tienne dans cette magnifique province ! Les subtilités du parler québécois semblent avoir ajouté une touche piquante à tes échanges. La magie des malentendus, ces moments où le langage devient une joyeuse cacophonie de "Pardon?" et de "Que dites-vous?", est une expérience à part entière !

Ton récit sur la confusion entourant le terme "blonde" dans le contexte amoureux m'a arraché un sourire complice, ayant moi-même été trop souvent victime de ce langage "blonde" ou "grimelle" dans mon propre terroir. La richesse du langage évolue souvent de quiproquos en éclats de rire, et ton anecdote en est un exemple parfait.

C'est ce que j'aurais défini comme une escapade linguistique, et la perplexité persiste face à l'utilisation du mot "blonde" pour désigner l'objet de l'amour. Une expression solidement ancrée dans la culture québécoise.

Ah, les termes affectueux pour l'être cher ! Ton exploration des classiques et des oubliés est une balade charmante à l'approche de la Saint-Valentin. Copain, copine, fiancé, fiancée, mari, femme, époux, épouse, tant de nuances pour décrire cette relation si spéciale. Et que dire des anciens amants et maîtresses, perdus dans les pages d'un temps révolu ?

Quant aux expressions du monde, chacun a sa préférence. Les chums et les nanas québécois, les mecs et les nanas français, les chouchou et doudou haitiens, ou encore les chéris et les chéries. Une diversité charmante qui fait voyager nos cœurs à travers les frontières linguistiques.

Enfin, la question de génération ou de feeling dans le choix des termes amoureux reste une énigme délicieuse. Les préférences changent, évoluent, et chacun trouve son propre langage du cœur.

En conclusion, que ton exploration des méandres amoureux continue d'être aussi pleine d'humour et d'élégance que tes réflexions linguistiques. Après tout, comme le disait si bien ce "tube" québécois des années 80, c'est une question de feeling !

J'aurais aimé pouvoir te lire plus souvent sur ce portail.

Bien à toi,
SF