Chasse aux fautes d'orthographe

Découvrez, ou redécouvrez, ces passages tirés d’œuvres canadiennes et tentez de trouver la faute d’orthographe que nous avons insérée dans chacun d’eux.

Quand je suis tanée, moi je mange / Comme un bébé, moi je mange / Quand je suis heureuse, moi je mange / Quand je suis nerveuse, moi je mange. (« Moi j’mange », chanson d’Angèle Arsenault)
Il ne faut pas vendre la peau de l’ours… surtout s’il n’est pas d’accord avec le pris. (« Dans une galaxie près de chez vous », film écrit par Claude Legault et Pierre-Yves Bernard)
C’est là que les connaissances, les valeures se transmettent. La famille! C’est la base fondamentale de qui on est. (« Familia », film de Louise Archambault)
Je ne me demande pas où menent les routes; c’est pour le trajet que je pars. (« Le Torrent », recueil de nouvelles d’Anne Hébert)
On a mis quelqu’un au monde / on devrait peutêtre l’écouter (« Un musicien parmi tant d’autres », chanson de Serge Fiori)
Voulez-vous savoir mon histoire? C’est l’histoire d’une fille qui court. Une fille essouflée. (« Les quatre morts de Marie », pièce de théâtre de Carole Fréchette)
Il n’y a que la mort pour stimuler constemment vos émotions. (« L’Histoire de Pi », roman de Yann Martel)
Ah! comme la neige a neigé! / Ma vittre est un jardin de givre. (« Soir d’hiver », poème d’Émile Nelligan)
Sur ses traits enfantins fortement maquillés, se superposa à cet instemps l’image de la vieille femme qu’elle deviendrait. (« Bonheur d’occasion », roman de Gabrielle Roy)
Parce que c’est un rôle que tu joues! Tu passes une période de ta vie où tu joues à être heureuze, à être positive. (« Albertine en cinq temps », pièce de théâtre de Michel Tremblay)

Date de modification : 2020-08-26

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