Navigateur linguistique

Dans les médias sociaux

Le Navigateur linguistique permet de faire une recherche par mots clés ou par thème pour trouver rapidement réponse à des questions sur la langue ou la rédaction en français et en anglais. Pour en apprendre davantage, consultez la section À propos du Navigateur linguistique. Première visite? Découvrez comment faire une recherche dans le Navigateur linguistique.

Recherche par mots clés

Recherche par thème

Faites une recherche par thème pour accéder rapidement à toutes les ressources linguistiques du Portail associées à un thème en particulier.

Champs de recherche

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Résultats 1 à 25 de 263 (page 1 de 11)

recouvrer

Article portant sur le verbe recouvrer utilisé dans le domaine juridique.
Du latin recuperare, le verbe recouvrer est transitif. Il s’emploie en deux sens : soit rentrer en possession de ce qui est dû, récupérer, percevoir (on recouvre un bien, une somme d’argent, des éléments d’actif, une indemnité, des dommages-intérêts, des effets de commerce, des factures, des loyers, des impôts, des taxes, des redevances, ses frais, ses débours), soit reprendre ce qu’on a perdu, retrouver (on recouvre ses pertes, un droit, un statut). Par exemple, dans ce dernier sens, recouvrer un droit signifie être rétabli, être restitué dans un droit; recouvrer un statut, c’est le réintégrer. « À défaut de complet paiement à l’échéance, le créancier peut demander la restitution du bien afin de recouvrer le droit d’en disposer. » Recouvrer l’exercice d’une action. Elliptiquement, le verbe recouvrer s’emploie comme intransitif dans le langage du droit : recouvrer en justice, recouvrer en replevin, le complément direct étant sous-entendu : recouvrer un bien en justice, recouvrer des objets saisis en replevin. Il faut éviter de dire que l’on recouvre quelque chose [de] quelqu’un; dire plutôt auprès de quelqu’un. « Le compte débiteur est un compte de bilan dans lequel on enregistre les sommes à recouvrer d’un tiers. » (= auprès d’un tiers). On ne peut recouvrer que ce qui nous revient de droit ou que ce que nous voulons récupérer. En ce sens, le verbe recouvrer n’est pas synonyme de recevoir ni de percevoir. Ainsi, recouvrer une créance signifie pour le créancier reprendre possession de ce qui lui revient, de ce qui lui est dû, de ce qui est exigible. Sa créance étant une dette du point de vue du débiteur, il recouvre la créance, non la [dette], il ne l’[obtient] ni ne la [perçoit]. Étant un verbe de la première conjugaison ou du premier groupe, son suffixe est en -er, aussi ne le confondra-t-on pas dans la conjugaison avec le verbe recouvrir. Comptes clients recouvrés (et non [recouverts]). On dira : Il a recouvré (et non [recouvert]) des intérêts, des salaires. Le débiteur recouvrera (et non [recouvrira]) sa créance.
Source : Juridictionnaire (difficultés de la langue française dans le domaine du droit)

remplacer

Page renvoyant à l’article « substituer » et portant sur le verbe « remplacer » utilisé dans le domaine juridique.
Renseignements complémentaires substituer substitution
Source : Juridictionnaire (difficultés de la langue française dans le domaine du droit)

quasi-contrat / quasi-délit

Page renvoyant à l’article « quasi » du Juridictionnaire et portant sur les mots « quasi-contrat » et « quasi-délit » utilisés dans le domaine juridique.
Voir quasi, point 3.
Source : Juridictionnaire (difficultés de la langue française dans le domaine du droit)

quasi judiciaire

Page renvoyant à l’article « quasi » du Juridictionnaire et portant sur l’adjectif « quasi-judiciaire ».
Voir quasi, point 5.
Source : Juridictionnaire (difficultés de la langue française dans le domaine du droit)

Livres adaptés pour les personnes ayant une incapacité : terminologie du droit d’auteur

Billet de blogue en français sur la terminologie française et anglaise relative au droit d’auteur et aux livres adaptés pour les personnes ayant une incapacité. Dans ce billet, je vous parlerai de la production, à des fins éducatives, de copies d’œuvres protégées par le droit d’auteur pour répondre aux besoins des personnes ayant une incapacité. En effet, pour pouvoir lire un document ou un manuel scolaire, ces personnes ont parfois besoin de l’obtenir dans un autre format, appelé support de remplacement ou média substitut. Droit d’auteur Avant tout, familiarisons-nous avec la notion de droit d’auteur. En gros, on appelle « droit d’auteur » le droit de produire ou de reproduire une œuvre (work), comme l’indique le paragraphe 3(1) de la Loi sur le droit d’auteur : 3 (1) Le droit d’auteur sur l’œuvre comporte le droit exclusif de produire ou reproduire la totalité ou une partie importante de l’œuvre, sous une forme matérielle quelconque, d’en exécuter ou d’en représenter la totalité ou une partie importante en public et, si l’œuvre n’est pas publiée, d’en publier la totalité ou une partie importante; ce droit comporte, en outre, le droit exclusif : (a) de produire, reproduire, représenter ou publier une traduction de l’œuvre… La Loi sur le droit d’auteur (Copyright Act) est une loi fédérale que les étudiants et les enseignants auraient avantage à consulter avant de produire des copies d’œuvres. Cette loi présente également un intérêt pour les traducteurs à qui un client demanderait de traduire un document qui est ou pourrait être protégé par le droit d’auteur. Violation du droit d’auteur Produire une copie sans le consentement (consent) du titulaire d’un droit d’auteur peut être considéré comme une contrefaçon (infringement). L’article 2 de la Loi sur le droit d’auteur définit la contrefaçon ainsi : contrefaçon (a) À l’égard d’une œuvre sur laquelle existe un droit d’auteur, toute reproduction, y compris l’imitation déguisée, qui a été faite contrairement à la présente loi ou qui a fait l’objet d’un acte contraire à la présente loi; (b) à l’égard d’une prestation sur laquelle existe un droit d’auteur, toute fixation ou reproduction de celle-ci qui a été faite contrairement à la présente loi ou qui a fait l’objet d’un acte contraire à la présente loi; (c) à l’égard d’un enregistrement sonore sur lequel existe un droit d’auteur, toute reproduction de celle-ci qui a été faite contrairement à la présente loi ou qui a fait l’objet d’un acte contraire à la présente loi; (d) à l’égard d’un signal de communication sur lequel existe un droit d’auteur, toute fixation ou reproduction de la fixation qui a été faite contrairement à la présente loi ou qui a fait l’objet d’un acte contraire à la présente loi. La présente définition exclut la reproduction – autre que celle visée par l’alinéa 27(2)e) et l’article 27.1 – faite avec le consentement du titulaire du droit d’auteur dans le pays de production. (infringing) Un cas à part : le livre adapté À des fins éducatives, les écoles, les organismes sans but lucratif et le Service québécois du livre adapté (service fourni par Bibliothèque et Archives nationales du Québec) produisent parfois des médias substituts ou des versions adaptées d’un livre ou d’un document protégé par le droit d’auteur pour des personnes ayant un handicap ou une déficience perceptuelle. On appelle ces copies des « livres adaptés » : Le livre adapté, désigné également sous les termes de support de remplacement ou de média substitut, est un média de communication qui se substitue à l’imprimé courant et permet l’accès à la lecture aux personnes ayant une déficience visuelle ou perceptuelle. Un livre adapté peut être un livre en braille, un livre audio analogique (sur cassette), un livre numérique (en fichier ou sur disque compact), un livre imprimé en gros caractères, un texte électronique ou un document en audiovision. (Source : Bibliothèque et Archives nationales du Québec) La production de livres adaptés est autorisée par l’article 29 de la Loi sur le droit d’auteur. Cet article définit la notion d’utilisation équitable (fair dealing), qui permet dans certains cas la reproduction à des fins éducatives sans que cela ne constitue une violation du droit d’auteur. La reproduction d’une œuvre à des fins éducatives peut être autorisée si elle répond aux critères de l’utilisation équitable : Utilisation équitable [Titre descriptif :] Étude privée, recherche, etc. 29 L’utilisation équitable d’une œuvre ou de tout autre objet du droit d’auteur aux fins d’étude privée, de recherche, d’éducation, de parodie ou de satire ne constitue pas une violation du droit d’auteur. Malheureusement, la Loi ne définit pas clairement le concept d’utilisation équitable. En cas de doute, il vaut mieux consulter des experts, comme ceux de Copibec, au Québec. Copibec est une entreprise d’économie sociale sans but lucratif qui a pour mission « d’assurer, par le biais de la gestion collective, l’utilisation des œuvres des auteurs et des créateurs en arts visuels dans le respect de leurs droits et de ceux de leurs éditeurs. » Je vous invite à consulter le site Web de Copibec pour en savoir plus long sur ce sujet. Mise au point terminologique : « handicap » ou « incapacité » Dans l’usage courant, « personne ayant une incapacité » est mieux accepté que « personne ayant un handicap », car le mot « handicap » peut être blessant pour certaines personnes. Quoi qu’il en soit, les lois québécoises utilisent plutôt le terme « personne handicapée ». Par exemple, on trouve l’expression « personne handicapée » à l’article 48, entre autres, de la Charte des droits et libertés de la personne du Québec. La Loi assurant l’exercice des droits des personnes handicapées en vue de leur intégration scolaire, professionnelle et sociale du Québec (Act to secure handicapped persons in the exercise of their rights with a view to achieving social, school and workplace integration) (E-20.1) emploie aussi le terme « handicapé ». Liste des termes mentionnés dans ce billet consentement (consent) contrefaçon (infringement) droit d’auteur (copyright) livre adapté, support de remplacement ou média substitut (adapted book, alternative format, alternate format ou print substitute) œuvre (work) personne ayant une déficience perceptuelle (person with a perceptual disability) personne ayant une incapacité; personne handicapée (lois du Québec) (person with a disability; handicapped person) titulaire du droit d’auteur (copyright owner) utilisation équitable (fair dealing) Traduit par Marc-André Descôteaux, Portail linguistique du Canada
Source : Blogue Nos langues (billets de collaborateurs et collaboratrices)

Des jeux « hot » pour l’été

Billet de blogue en français dans lequel l’auteure présente des jeux sur des expressions et des mots de vocabulaire liés à l’été qui figurent dans le Portail linguistique du Canada. L’été, surtout quand on est en vacances, on a tout son temps pour jouer! Je vous propose d’essayer quelques jeux du Portail linguistique du Canada pour parfaire votre connaissance du vocabulaire lié à la saison chaude, dans les deux langues officielles. Pleins feux sur les expressions « chaudes » L’été, on a chaud; on sue parfois même à grosses gouttes, surtout en pleine canicule. Mais quand on dit qu’on a eu chaud, on ne parle pas forcément de sueurs chaudes… Comment traduiriez-vous cette expression en anglais? « We were hot »? Hum, peut-être pas! Les jeux Expressions bilingues avec le mot « chaud » : avertissement de chaleur! et Expressions bilingues avec le mot « chaud » : les esprits s’échauffent! vous apprendront que l’adjectif chaud ne se traduit pas toujours par hot ou warm. Essayez-les! Votre score vous dira si vous êtes vraiment « hot »! Fleurs en charades Ajoutez de la couleur, de la fraîcheur et du parfum à vos jours d’été avec les jeux de charades Mots découpés : assortiment de fleurs estivales et Mots découpés : c'est le bouquet!. Il suffit de déchiffrer les indices qui mènent à des noms de fleurs comme hosta, chrysanthème et jacinthe. Prêt à jouer? Expressions à saveur estivale Imaginez-vous seul, assis au bord de la piscine, les pieds immergés dans l’eau et les yeux plongés dans un roman des plus palpitants. L’évasion totale. Le calme parfait. Et soudain… Plouf! Une bombe vous fait sortir de votre univers. Vous êtes trempé, votre livre aussi. Quel gâchis! Qui est l’auteur de cette mauvaise plaisanterie? Sur le coup, vous vous dites « it’s no picnic ». Mais puisque vous êtes un rayon de soleil dans la vie, vous réalisez rapidement que c’est une goutte d’eau dans l’océan. Comment diriez-vous la même chose en anglais? Avec le jeu Expressions estivales : quoi de nouveau sous le soleil?, vous verrez si vous visez juste! On vous en donne sept de plus, question de chatouiller vos neurones engourdis par la chaleur! Annuelles, vivaces et autres types de végétaux Après vous être trempé les pieds dans la piscine, c’est le temps de mettre les mains dans la terre et de jardiner! Mais alors que vous plantez un cactus vivace (eh oui, certaines variétés de cette plante succulente résistent aux hivers canadiens), vous vous enfoncez une épine dans le pouce… Aïe! Plantes médicinales, venez à la rescousse pour soigner ce pauvre pouce vert! Vous voulez savoir comment on appelle ces types de végétaux en anglais? Et d’autres comme les annuelles, les conifères et les couvre-sols? Le jeu Jardinage 101 : types de végétaux tombe à pic. À vous de piocher dans votre matière grise maintenant! IVNI : insectes volants non identifiés Bourdon, faux-bourdon, abeille, guêpe, frelon, taon, c’est du pareil au même pour vous? Ça pique et ça fait mal, n’est-ce pas? Bzzzzzzzzzz, eh bien, consolez-vous, vous n’êtes pas seul à mettre toutes ces bestioles dans le même panier. Le jeu Insectes volants non identifiés devrait vous aider à ne plus les confondre. Et en prime, vous apprendrez leur équivalent en anglais. Un beau voyage au pays des insectes vous attend! J’espère que la présentation de ces jeux du Portail linguistique a « piqué » votre curiosité au point de tous les essayer! Dites-moi si vous les avez aimés dans les commentaires. Par la même occasion, j’aimerais bien recevoir vos idées de jeux sur la langue!
Source : Blogue Nos langues (billets de collaborateurs et collaboratrices)

Concevoir un lexique bilingue : l’approche collaborative

Billet de blogue en français expliquant comment Parcs Canada a produit un lexique bilingue pour faciliter le travail de tout son personnel. Réserve de ciel étoilé, corps du ciel profond, cub-of-the-year, benchmark ecosystem… autant de termes et d’expressions qui sont utilisés dans le cadre des activités de Parcs Canada, mais dont l’équivalent n’est pas nécessairement connu dans l’autre langue officielle par ceux qui les utilisent. Vous imaginez les problèmes de communication que ça peut créer? Heureusement, un traducteur-réviseur particulièrement débrouillard avait la solution! Bien au fait des difficultés qu’avaient ses collègues dans leur travail, il savait qu’un lexique bilingue serait d’une grande utilité. Justement, il constituait depuis des années sa propre base de données linguistique bilingue qu’il espérait partager avec eux un jour. Le moment était venu d’en profiter!   Consulter pour concevoir un outil efficace et pertinent L’équipe du Laboratoire d’innovation de Parcs Canada a offert au traducteur-réviseur de l’aider à mettre sur pied un projet pilote. Nous avons vite compris que pour réussir, il faudrait consulter de nombreux collaborateurs internes. Nous avons donc adopté une approche collaborative en 3 étapes : Nous avons d’abord créé un comité consultatif composé de langagiers et d’experts de divers domaines. Nous les avons interrogés sur leurs besoins et leurs attentes comme futurs utilisateurs du lexique. En parallèle, nous avons fait des recherches et consulté des informaticiens pour explorer les plateformes technologiques disponibles. Nous avons transféré la banque de données dans un fichier Microsoft Excel. Nous pensions que cet outil avait beaucoup de potentiel, mais la lourdeur du fichier nous a vite fait comprendre que nous devions chercher une autre solution. Malgré les limites de Microsoft Excel, nous avons invité les membres du comité consultatif à tester le lexique pendant 6 semaines. Leur rétroaction a été extrêmement utile. Elle nous a aidés à valider la pertinence du contenu et à cerner ce qui comptait le plus pour les utilisateurs. En effet, nous en avons conclu que c’est la simplicité d’utilisation qui primait. Nous avons donc transformé le lexique en un tableau que nous avons publié dans l’intranet. Un rêve devenu réalité Après des mois de consultations et d’entrée de données, le lexique bilingue de Parcs Canada a été mis en ligne. Il compte plus de 2400 termes et expressions couramment utilisés par l’équipe et les collaborateurs de Parcs Canada. On y trouve aussi des expressions à éviter, des contextes et des liens vers des sources fiables, ainsi que des notes explicatives. Quelques conseils pour établir votre propre lexique Si vous songez à créer un lexique bilingue pour votre organisme, pensez aux personnes ou aux groupes qui pourraient vous aider. Dans notre cas, le Laboratoire d’innovation a joué un rôle central. Il a trouvé les personnes les mieux placées pour participer et a vu à ce que le projet se déroule rondement. Nous avons aussi fait appel à des professionnels de la langue et à des experts de différents domaines à Parcs Canada. Ces collaborateurs choisis ont participé au projet dès le début et nous ont aidés à produire un outil qui répond vraiment à leurs besoins. Ainsi mobilisés, ils sont devenus naturellement des ambassadeurs du lexique. Cela contribuera à assurer sa pérennité. Votre entreprise ou votre organisme a-t-il déjà produit un document comme le nôtre? Sinon, pensez-vous qu’il gagnerait à le faire? Parlez-nous-en dans la section des commentaires.
Source : Blogue Nos langues (billets de collaborateurs et collaboratrices)

10 conseils pratiques pour enrichir votre vocabulaire

Billet de blogue portant sur 10 astuces pour enrichir son vocabulaire. Quand on apprend une langue, surtout à l’école, on étudie les règles de grammaire et les conjugaisons, on mémorise des phrases, et parfois même des listes de mots. Mais au moment de parler, on peut avoir l’impression qu’on n’arrive pas à exprimer ses idées clairement. On n’a pas suffisamment de mots pour les dire ou ceux qu’on garde en tête ne sont pas utiles pour le contexte. Par exemple, il faut donner une opinion sur la circulation routière en ville. Vous savez donner votre avis, mais le vocabulaire propre à ce sujet vous manque. Imaginons une autre situation moins compliquée et tout à fait courante. Après plusieurs heures d’apprentissage de la langue française, vous voulez expliquer une de vos recettes favorites. Vous avez les verbes pour énumérer les étapes, mais pas le nom des ingrédients. Ou, vice versa, vous connaissez les ingrédients, mais pas les verbes. Alors comment faire pour enrichir votre vocabulaire de façon pratique, sans nécessairement créer et mémoriser des listes? Grâce à mon expérience comme enseignante de français, et aussi en tant qu’apprenante de langues étrangères, j’ai découvert quelques stratégies, simples mais efficaces, pour apprendre de nouveaux mots. Ces astuces pourraient vous servir en tout temps : 1. Observez la version française des étiquettes des produits Nous avons l’avantage extraordinaire, ici au Canada, d’avoir les étiquettes de nombreux produits dans les deux langues officielles, l'anglais et le français. 2. Sélectionnez le français comme langue d’affichage de vos appareils électroniques Choisissez le français comme langue du système de votre ordinateur, téléphone cellulaire ou tablette. 3. Lisez l’actualité en français Quand vous lisez les nouvelles dans un journal francophone, vous pouvez en choisir une, cibler les mots importants et les chercher dans le dictionnaire. 4. Écrivez une page de journal intime par activité quotidienne Par exemple, si vous allez au gym, à la fin de votre séance de sport, rédigez-en un résumé pour apprendre les mots français correspondant aux machines, mouvements et muscles utilisés. 5. Consultez la météo en français Brisez la glace avec n’importe quel francophone en utilisant les mots de la météo propres à chaque saison. 6. Trouvez le nom français de vos vêtements favoris des 4 saisons De cette façon, chaque fois que vous mettrez ce vêtement, vous penserez à son nom en français. Et quand vous visiterez une province francophone, vous pourrez faire des achats plus facilement. 7. Créez un compte Twitter en français Même si vous n’aimez pas beaucoup les réseaux sociaux, vous pouvez apprendre du vocabulaire qui vous intéresse en suivant les comptes des personnes, groupes et institutions (comme le Portail linguistique du Canada) qui vous tiennent à cœur. 8. Ajoutez des légendes en français à vos photos Pourquoi ne pas créer un compte Instagram dont le principal objectif serait de mettre des titres français à vos photos? Vous pouvez également demander à vos (nouveaux) amis francophones de vous recommander des légendes. 9. Enrichissez votre vocabulaire en jouant En cliquant sur Jeux sur le vocabulaire dans les Ressources du Portail linguistique du Canada, vous trouverez une variété de jeux qui vous permettront de découvrir de nouveaux mots ou de rafraîchir votre mémoire. 10. Recherchez le vocabulaire d’un sujet qui vous intéresse La base de données terminologiques et linguistiques TERMIUM Plus® regroupe de nombreux termes par domaine, ce qui aide énormément à retenir les notions et à les appliquer dans la vie quotidienne. À vous la parole : quel conseil ajouteriez-vous à cette liste? Partagez, dans la section « Commentaires » ci-dessous, vos trucs (ou ceux de vos amis) pour apprendre de nouveaux mots. Merci d'avance.
Source : Blogue Nos langues (billets de collaborateurs et collaboratrices)

Le français des médias sociaux : pour éviter de « tweeter des hashtags »

Billet de blogue en français présentant les mots français qui décrivent les réalités des médias sociaux. Si je vous parle de créer des « hashtags » et de « tweeter », vous me comprenez sûrement. Et si j’utilisais les bons termes français? Vous créeriez alors des « mots-clics » et vous publieriez des « gazouillis ». Voilà des mots moins courants pour la majorité des adeptes des médias sociaux! Les médias sociaux servent principalement à faciliter le partage de contenu, la collaboration et l’interaction sociale, mais ils ont un langage bien à eux qui peut être un obstacle à celui qui l’ignore. Ce langage est apparu d’abord en anglais… mais n’allons pas croire qu’il est impossible de parler de médias sociaux en français! Voici un tableau utile qui vous aidera à intégrer le français à votre univers social en ligne… ou en personne!   Petit lexique français-anglais des médias sociaux Terme français Terme anglais Définition Source : Lexique des médias sociaux du Bureau de la traduction. 1 Définitions de mon cru. clavardage (nom masculin) chatting Conversation textuelle en temps réel sur Internet.1 désamicaliser; décopiner; amiradier unfriend Retirer une personne de sa liste de contacts.1 données de géomarquage (nom féminin pluriel) geotagging data Renseignements associant un lieu à des photos, à des vidéos, à des messages, etc.1 émoticône (nom féminin); binette (nom féminin) emoticon; smiley Symbole ou image dans un message qui exprime l’humeur de son auteur. étiquette (nom féminin) tag Mot-clé attribué à une photo, à une vidéo ou à un texte pour caractériser son contenu ou identifier une personne. Nota : Le terme utilisé sur Facebook est « identification ». externalisation ouverte (nom féminin); externalisation à grande échelle (nom féminin) crowdsourcing Pratique qui consiste à faire appel à la créativité, à l’intelligence et au savoir-faire des internautes pour mener à bien une activité particulière. fil d’actualités (nom masculin) home timeline Sur Twitter, flux chronologique de tous les gazouillis provenant des gazouilleurs auxquels est abonné un utilisateur. fil de nouvelles (nom masculin) news feed Sur Facebook, le fil de nouvelles comprend des mises à jour de statuts, des vidéos, des photos, etc. gazouilleur (nom masculin), gazouilleuse (nom féminin) twitterer; tweeter Utilisateur de la plateforme de microblogage Twitter. gazouillis partagé (nom masculin) retweet; RT Sur Twitter, gazouillis qu’un utilisateur fait suivre à ses abonnés. mise à jour de statut (nom féminin) status update Nouvelle publication affichée dans le profil personnel.1 Nota : Terme utilisé sur Facebook. mot-clic (nom masculin); mot-dièse (nom masculin) hashtag Mot-clé, série de mots-clés ou thème précédé du symbole numéro (dièse ou croisillon) servant à indexer et à classer du contenu. pseudonyme (nom masculin); pseudo (nom masculin) handle; nickname Alias ou forme abrégée du nom d’un internaute. publication (nom féminin) post Tout élément publié sur une plateforme de média social, y compris du texte, des images, des vidéos et des enregistrements audios. se connecter; ouvrir une session log in; sign in Commencer une session; activer la connexion à son compte.1 se déconnecter; fermer une session log out; sign out Mettre fin à la session en cours; couper la connexion à son compte.1 vidéoblogue (nom masculin); vlogue (nom masculin); blogue vidéo (nom masculin) video blog; vlog; videoblog Blogue diffusé sous forme de vidéo.1 wikipédiste (nom); wikipédien (nom masculin), wikipédienne (nom féminin) wikipedian Personne qui rédige ou modifie des articles sur Wikipédia. Pour une liste plus complète, je vous invite à consulter le Lexique des médias sociaux dans TERMIUM Plus®. Il s’avère un outil précieux pour tous les utilisateurs des médias sociaux. Maintenant que vous avez découvert tout ce beau vocabulaire français des médias sociaux, croyez-vous l’intégrer à vos messages? Parlez-nous de vos impressions dans les commentaires!
Source : Blogue Nos langues (billets de collaborateurs et collaboratrices)

postsentenciel / présentenciel / sentenciel

Article portant sur les mots postsentenciel, présentenciel et sentenciel utilisés dans le domaine juridique.
Le néologisme sentenciel signifie qui se rapporte à la sentence. Il qualifie notamment l’ensemble des règles de droit édictées par une autorité législative qui régissent la phase pénale de la détermination de la peine. Il faut éviter d’appeler, [sentencing], comme le font plusieurs juristes, même pour des raisons de commodité, ce qui relève de cette branche du droit pénal et du droit de la procédure pénale. La détermination de la peine fait partie du droit sentenciel. Réforme sentencielle ou réforme (du droit) de la détermination de la peine. Droit sentenciel positif. Le droit sentenciel reconnaît en son principe primordial les circonstances atténuantes 1 et aggravantes. Dans son objet, il comprend, en outre, les règles relatives à la détermination de la peine, mais aussi celles qui traitent de l’application et de l’exécution 1 des peines. On entend par objectifs sentenciels ceux que la loi énonce expressément. Ainsi, au Canada, le tribunal est tenu de prendre en compte les objectifs sentenciels que prévoit l’article 718 du Code criminel : la détermination, la dissuasion spécifique (concernant l’accusé) et la dissuasion générale (concernant la protection de la société), la réparation des torts causés, la réinsertion sociale et la conscientisation chez l’accusé de l’illicéité des actes criminels qu’il a commis. Il n’existe pas de moule sentenciel préétabli et le juge, quoiqu’il dispose d’une fourchette des peines, doit considérer les facteurs atténuants et aggravants de chaque affaire avant de se déterminer à l’égard de la peine à infliger. La fourchette des peines est un créneau sentenciel à l’intérieur duquel la peine à appliquer doit se situer. Créneau sentenciel inférieur (simples mesures probatoires), créneau sentenciel supérieur (absolution inconditionnelle ou conditionnelle). « Ce créneau sentenciel inférieur inclut la mesure sentencielle de la sentence suspendue assortie d’une ordonnance de probation ainsi que l’amende assortie ou non d’une probation. » Politique sentencielle. Inflation sentencielle. Dans la langue de la pratique française, on appelle du nom de code sentenciel le code pénal, du moins la partie qui traite des mesures sentencielles, et le code de procédure pénale dans sa partie consacrée au processus sentenciel. Comme mot-base, l’adjectif sentenciel sert à former des substantifs et des adjectifs qui désignent des notions propres au droit sentenciel, particulièrement deux concepts qui désignent ou qualifient, selon le cas, ce qui vient avant ou ce qui vient après le prononcé de la sentence : droit présentenciel et droit postsentenciel. Il convient de remarquer les trois formes orthographiques de ces deux mots, en un seul mot (présentenciel, postsentenciel) en deux mots (pré sentenciel, post sentenciel) et avec le trait d’union (pré-sentenciel, post-sentenciel), relevées dans la documentation. Seule la première est conforme à l’usage actuel fondé sur la réforme de l’orthographe. Lorsqu’ils sont employés comme substantifs, le présentenciel et le postsentenciel se disent aussi bien du juge de l’application des peines que du système pénitentiaire, des agents de probation, des travailleurs sociaux et des experts médicaux, de l’évaluation des détenus et de leur réinsertion et, comme substitut à la détention, des travaux d’intérêt général en milieu ouvert ou travaux communautaires. Le présentenciel, le sentenciel et le postsentenciel représentent les trois stades de la phase judiciaire que comporte le processus pénal : la peine encourue et la période de la détention provisoire (le présentenciel), la peine prononcée ou le moment ou la période, le cas échéant, de la détermination de la peine (le sentenciel) et la peine appliquée, exécutée ou subie ou la période de l’aménagement de la peine ou de son exécution (le postsentenciel). Précédés de la préposition en, présentenciel et postsentenciel désignent soit la situation dans laquelle le délinquant se trouve avant ou après le stade du sentenciel (emprisonnement, statut présentenciel, soit la période antérieure ou postérieure au sentenciel (phase d’enquête en présentenciel et en postsentenciel), soit encore un domaine d’études en droit sentenciel (la détention en présentenciel, les obligations postsentencielles). « Le postsentenciel comprend l’étude des mesures d’effacement et de relèvement éventuellement accordées au condamné. » Comme adjectifs, les mots présentenciel et postsentenciel qualifient des substantifs qui renvoient à des notions ou à des réalités liées à la sentence prononcée par le tribunal. Accompagné souvent de la déclaration de la victime sur les répercussions du crime, le rapport présentenciel est un document prédécisionnel. Régulier ou spécifique (dans ce dernier cas, il se limite à répondre à une question précise que pose le juge), il est le plus souvent préparé par un agent de probation (plus rarement par un travailleur social). Il a pour objet principal de présenter au juge chargé d’infliger la peine (éviter de parler du juge qui [impose] la peine et du juge qui [applique] la peine) le profil le plus exact possible du délinquant et des circonstances de l’acte criminel pour lequel la sanction judiciaire réprimera l’acte punissable. Ce rapport, qu’il soit favorable ou défavorable, neutre, positif, approfondi, étoffé, complet, exhaustif, détaillé, circonstancié, utile, minutieux ou long, négatif, de peu d’utilité, incomplet, sommaire, succinct ou bref, comporte, après l’enquête présentencielle, des renseignements relatifs au dossier des infractions du délinquant, son casier judiciaire, ses antécédents personnels, professionnels et sociaux, les mesures prises en vue de sa réadaptation ou de sa réinsertion, l’énoncé des sentiments éprouvés à l’égard de sa conduite criminelle – repentir, remords ou regrets – ainsi que des recommandations adressées au juge concernant le risque de récidive. Sa fonction consiste à fournir à la cour des renseignements utiles à la détermination de la peine. Au Canada, le rapport présentenciel peut constituer un facteur atténuant ou aggravant. À la demande de la cour ou de l’une des parties, il est le plus souvent rédigé après le plaidoyer ou la déclaration de culpabilité en vertu de l’article 721 du Code criminel. Il vaut preuve jugée admissible 1 des faits à l’origine de l’infraction et justifiant la condamnation, mais presque jamais l’absolution. « L’âge du défendeur et le rapport présentenciel sont des facteurs atténuants. » « Prenant acte du plaidoyer de culpabilité, le juge saisi de l’affaire ordonne la préparation d’un rapport présentenciel et reporte la détermination de la peine à telle date. » « Le rapport présentenciel sera déposé comme preuve à l’appui de la décision relative à la détermination de la peine. » Souvent, aussi, une affaire sera ajournée pour permettre la préparation et le dépôt du rapport présentenciel. « L’accusé a modifié son plaidoyer et reconnu sa culpabilité et, comme un rapport présentenciel a été demandé, l’affaire a été ajournée. » « Le juge a demandé le dépôt d’un rapport présentenciel et renvoyé à plus tard le prononcé de la sentence. » En droit français, le rapport d’étape postsentenciel fait partie du dossier d’appel et signale à la cour si l’ex-détenu qui a été remis en liberté et qui sollicite la suspension de l’exécution de sa peine a accompli des progrès suffisants pour réaliser l’objet que représente sa réadaptation ou sa réinsertion. La période que passe sous garde le délinquant avant la déclaration de culpabilité et la détermination de la peine est une détention provisoire, qualifiée aussi de présentencielle; elle est encore appelée, dans la jurisprudence canadienne, détention avant le procès, détention avant le verdict et « temps mort ». La question de la durée de la détention présentencielle et de son incidence sur la peine infligée revient à demander au tribunal s’il y a lieu de tenir compte du temps passé sous garde dans la détermination de la fourchette des peines applicables et, en conséquence, sur l’applicabilité de l’emprisonnement avec sursis et de la mitigation (mitigation 1, mitigation 2) ou de l’atténuation de la peine. La période passée en détention présentencielle, même en détention présentencielle à domicile comme mesure substitutive à l’emprisonnement, fait partie de la durée totale de la peine infligée conformément aux lois et à la jurisprudence canadiennes. Phase présentencielle. Évaluation présentencielle du risque de récidive. Éclairage présentenciel. « La détention présentencielle ou la détention provisoire est réputée faire partie intégrante de la peine. Aux fins du calcul d’une réduction de peine pour le temps passé en détention provisoire, le rapport 2 pour 1 est généralement la norme. » Le juge doit motiver toute dérogation à cette norme, s’il estime qu’elle ne convient pas en l’espèce, faute de quoi sa décision pourra être portée en appel sous ce moyen. Mise en liberté sous caution présentencielle. Privation présentencielle de liberté. L’adjectif postsentenciel qualifie des substantifs qui renvoient à des notions ou à des réalités abstraites liées à la période postérieure au prononcé de la sentence. Cadre, domaine postsentenciel. Harmonisation des mesures postsentencielles. Mission, obligation postsentencielle. Contrôle, suivi, traitement postsentenciel des détenus. Programme postsentenciel. Ordonnance postsentencielle de détention, de maintien en incarcération. Détention postsentencielle des agresseurs sexuels d’enfants. Emprisonnement postsentenciel. L’expertise postsentencielle durant la détention est, en France, une sorte d’enquête expertale en libération conditionnelle menée par un psychiatre. Elle a pour objet l’évaluation la plus fidèle possible de l’évolution positive du condamné quant à ses sentiments à l’égard de la victime, à sa reconnaissance de la lésion ou du préjudice moral qu’elle a subi et au risque de récidive afin de permettre à l’expert de déterminer si le détenu peut être candidat à une injonction de soins. Expertise postsentencielle de prélibération.
Source : Juridictionnaire (difficultés de la langue française dans le domaine du droit)

cyber- / cyberespace

Article portant sur le préfixe cyber- et le mot cyberespace utilisés dans la langue courante et le domaine juridique.
Le préfixe cyber- est un mot base qui sert à créer des composés au moyen de mots existants – le plus souvent soudés et non reliés par un trait d’union – et leurs dérivés se rapportant à l’ensemble des réseaux télématiques que constitue le réseau Internet. Tout ce qui existe dans Internet (on dit aussi dans l’Internet, ce mot s’écrivant aussi avec la minuscule dans l’usage actuel) ou qui touche directement à Internet peut se prêter à ce procédé de formation néologique. Cybercafé, cyberconférence, cyberculture, cybermarché, cybersécurité. On appelle cybernaute la personne qui fait usage des réseaux de communication numériques et, dans un sens similaire, internaute celle qui utilise le réseau Internet (le Net, le Web, la Toile). « Un cybernaute peut commettre un délit ou un crime en dévoyant le moyen de communication qu’est Internet ou en en faisant un mésusage illicite ou criminel. » Au vocabulaire traditionnel du droit viennent s’ajouter rapidement en l’enrichissant une nombreuse série de termes juridiques nouveaux, plusieurs relevant du vaste domaine de la criminalité et désignant des actes criminels ou de simples délits commis à l’aide des réseaux informatiques : cyberattaque, cybercrime (sabotage, piratage, vol), cybercriminel, cybercriminalité (ou sa variante, la criminalité informatique, numérique ou binaire), cyberdélit (ou délit informatique), cyberdélinquance (ou délinquance cybernétique, e-délinquance), cyberguerre, cyberjustice, cyberpédophilie, cyberpolice, cyberterrorisme. La cyberdélinquance englobe toute action illicite visant les systèmes informatiques soit comme formant l’objet du délit, soit comme constituant le moyen de commettre l’infraction. Ainsi, le cyberdélinquant pourra utiliser l’ordinateur pour s’attaquer aux systèmes informatiques en se servant de l’ordinateur comme relais ou comme cible par des actes portant atteinte à la confidentialité, à l’intégrité ou à la disponibilité des données, détruisant des données ou des sites, effectuant des intrusions, déposant des programmes pirates ou espions, envoyant des virus ou usurpant des adresses ou des noms de domaine. Il pourra en outre utiliser l’ordinateur pour diffuser des contenus illicites, procéder à des extorsions de fonds, commettre des actes de fraude commerciale, proférer des menaces ou se livrer à la cyberdélinquance financière par des actes de blanchiment d’argent et de manipulation des cours de la bourse. Selon le Collège canadien de police, il existe deux catégories de cybercrimes : celle où l’ordinateur est l’instrument de perpétration et celle où il est l’objet du crime. « La cybercriminalité est la criminalité ayant l’ordinateur pour objet ou pour instrument de perpétration principale. » On appelle cyberespace l’espace virtuel des ordinateurs reliés entre eux par des réseaux télématiques. Le droit considère le cyberespace comme un milieu global d’intérêt puisqu’il forme un environnement dans lequel se produisent des événements qui entraînent des conséquences juridiques diverses. Il ne faut pas confondre la nouvelle branche du droit du cyberespace avec ses sous-branches, lesquelles constituent des domaines juridiques distincts tels le droit de l’informatique, encore appelé droit de l’Internet, le droit de l’audiovisuel, le droit de l’information technologique et le droit du commerce électronique. Les objets du droit du cyberespace sont multiples et envahissent plusieurs champs traditionnels du droit. Ils tendent à empiéter parfois sur ceux des droits analogues. Ce droit s’intéresse notamment au droit des noms de domaine, appelé à devenir aussi important pour les juristes que le droit des marques de commerce, au cyberarbitrage et à la résolution en ligne des différends et des litiges en matière de commerce électronique, au droit de la communication électronique, au droit de la propriété intellectuelle, au droit des échanges, des contrats et de la consommation, à la sécurité des transactions et aux mécanismes de paiement électronique, au droit d’auteur, aux techniques de réglementation, à la question de la compétence, à la responsabilité et aux normes de conduite des intervenants, au régime réglementaire des réseaux, à la protection de la vie privée, de l’honneur et de la réputation, aux atteintes portées à la sécurité nationale, aux stratégies de contrôle des contenus indésirables, à la discrimination et aux informations dangereuses de même qu’au harcèlement virtuel, à la pornographie, notamment la pornographie juvénile, et au matériel à caractère sexuel et violent. De plus en plus d’infractions cybernétiques sont sanctionnées par les lois et les codes criminels tels le méfait à l’endroit des données informatiques, l’utilisation non autorisée d’un ordinateur et la possession de moyens permettant de recourir à ses services. Le Canada est signataire de la Convention sur la cybercriminalité du Conseil de l’Europe. Depuis 1985, le Code criminel du Canada a été souvent modifié pour mieux combattre la cybercriminalité par des dispositions relatives à l’utilisation non autorisée d’ordinateur, aux méfaits concernant des données informatiques, à la possession de moyens permettant d’utiliser des installations ou d’obtenir un service en matière de télécommunication, au vol de service de télécommunication et à la possession de moyens permettant d’utiliser un service d’ordinateur. En outre, le législateur canadien a édicté plusieurs lois en vue de lutter efficacement contre la prolifération des actes criminels traditionnels transposés dans le cyberespace.
Source : Juridictionnaire (difficultés de la langue française dans le domaine du droit)

Régimes alimentaires : végétarisme ou végétalisme?

Jeu dans lequel il faut associer des termes comme végétarien et végétalien à leur définition. Tous les végétariens ne se ressemblent pas! Certains ne consomment aucun produit d’origine animale et évitent même le miel. D’autres mangent non seulement des fruits et des légumes, mais aussi des produits laitiers ou des œufs, ou même de la viande ou du poisson à l’occasion.Trouvez le terme correspondant à chaque définition.1. Personne qui est généralement végétarienne mais qui mange parfois de la viande ou du poisson.crudivoreflexitarienfruitarienglaneur alternatiflacto-végétarienovo-lacto-végétarienovo-végétarienpescétarienvégétalien2. Végétarien qui se nourrit seulement de produits végétaux et qui évite tout produit d’origine animale (par exemple le miel, le lait ou les œufs).crudivoreflexitarienfruitarienglaneur alternatiflacto-végétarienovo-lacto-végétarienovo-végétarienpescétarienvégétalien3. Végétarien qui consomme aussi des produits laitiers.crudivoreflexitarienfruitarienglaneur alternatiflacto-végétarienovo-lacto-végétarienovo-végétarienpescétarienvégétalien4. Végétarien qui consomme aussi des œufs.crudivoreflexitarienfruitarienglaneur alternatiflacto-végétarienovo-lacto-végétarienovo-végétarienpescétarienvégétalien5. Végétarien qui mange aussi des produits laitiers et des œufs.crudivoreflexitarienfruitarienglaneur alternatiflacto-végétarienovo-lacto-végétarienovo-végétarienpescétarienvégétalien6. Végétarien qui mange aussi du poisson.crudivoreflexitarienfruitarienglaneur alternatiflacto-végétarienovo-lacto-végétarienovo-végétarienpescétarienvégétalien7. Personne qui se nourrit d’aliments « non cuits », c’est-à-dire d’aliments crus ou dont la cuisson ne dépasse pas une certaine température (par exemple 40 °C).crudivoreflexitarienfruitarienglaneur alternatiflacto-végétarienovo-lacto-végétarienovo-végétarienpescétarienvégétalien8. Personne qui se nourrit exclusivement de fruits frais ou secs et de graines.crudivoreflexitarienfruitarienglaneur alternatiflacto-végétarienovo-lacto-végétarienovo-végétarienpescétarienvégétalien9. Personne qui se nourrit gratuitement. Elle peut, par exemple, s’adonner à la cueillette sauvage ou récupérer de la nourriture dans les poubelles des épiceries et des restaurants.crudivoreflexitarienfruitarienglaneur alternatiflacto-végétarienovo-lacto-végétarienovo-végétarienpescétarienvégétalien  
Source : Jeux du Portail linguistique du Canada

La mère et sa famille

Jeu portant sur des mots dérivés étymologiquement du mot mère. Le mot mère provient du latin mater, qui a servi à former une panoplie de mots français. Dans les phrases suivantes, trouvez le mot manquant, qui appartient à la famille du mot mère.1. Nous ne devons pas oublier les vieilles langues européennes, parmi lesquelles ma langue , le lituanien, est l’une des plus anciennes.matrilocalematernellematrimoniale2. Les éléphants sont des animaux très sociaux qui vivent en société .matrimonialematriarcalematrilocale3. L’esprit communautaire est la de cette société.matérialisationmatronematrice4. En cas de rupture du lien , la question de la garde des enfants doit être analysée.maternelmatriarcalmatrimonial5. « Le Titien a peint sa mère, vieille du peuple, crasseuse et laide […] » (Châteaubriand)matronemarâtrematriarche6. Les noms et numéros de des personnes détenues sont des renseignements personnels.matricematriculematronyme7. Certaines communautés autochtones prônaient un mode de vie , où l’homme pliait bagage pour aller rejoindre la famille de sa femme après le mariage.matrilinéairematrilocalmatrimonial8. Dans les sociétés , les couples mariés vivent souvent séparés et ne se voient que dans leur temps libre.matriarcalesmaternellesmatrilocales9. Seuls 6,5 % des parents choisissent de donner uniquement le à leur enfant.matriculematronymematernage10. Enceinte de quatre mois, elle vient de commencer à porter des vêtements de .maternitématadormaternage  
Source : Jeux du Portail linguistique du Canada

Le père et sa famille

Jeu portant sur des mots dérivés étymologiquement du mot père. Le mot père provient du latin pater, qui a servi à former une panoplie de mots français. Le mot pater lui-même a donné lieu à d’autres dérivés latins tels que patria, patriarcha, patriota, patrimonium, paternus et patronus, lesquels ont aussi engendré des mots français.Trouvez le mot appartenant à la famille étymologique du mot père qui correspond à chacune des définitions suivantes.1. Personne qui aime sa patrie et qui prend sa défense.patriarchepaternalistepatrimonialpatriote2. Homme très âgé et respecté qui vit en paix, entouré d’une famille nombreuse.patriarchepaternelpatronpater3. Nom de famille.nom parentalnom patrimonialpatronymenom de paternité4. Autre nom donné au père.parrainpatriarchepatronpaternel5. Attitude d’un chef d’entreprise qui dirige les autres comme un père, de façon autoritaire et parfois condescendante.paternalismepatriotismepatriarcatpatroclinie6. Qui a trait au patrimoine.patronalpatriotiquepatrimonialpatrimonique7. Utiliser sa renommée et son influence pour favoriser la réussite de quelqu’un.patronnerpatroniserrapatrierpaternaliser8. Modèle qui sert à la fabrication d’objets.patronatpatronpatristiquepater9. Aristocrate, noble; privilégié, puissant.patricienparrainpatronatpatriarche10. Ramener légalement une personne dans le pays dont elle a la nationalité.parrainerdépatrierrapatrierexpatrier  
Source : Jeux du Portail linguistique du Canada

Temps des Fêtes : père Noël en 8 langues

Jeu portant sur les noms du père Noël dans différentes langues. Le père Noël n'a plus besoin de présentation. Aussi appelé saint Nicolas en français, les anglophones l'appellent Santa Claus. Mais savez-vous quel nom les locuteurs d'autres langues donnent au célèbre personnage à la barbe blanche?C'est ce que nous allons voir! Associez le nom à la bonne langue.1. Julenissenjaponaisnorvégienfinnoisallemandchinoisitaliengrecnéerlandais2. Agios Nikolaosjaponaisnorvégienfinnoisallemandchinoisitaliengrecnéerlandais3. de Kerstmanjaponaisnorvégienfinnoisallemandchinoisitaliengrecnéerlandais4. Weihnachtsmannjaponaisnorvégienfinnoisallemandchinoisitaliengrecnéerlandais5. Babbo Natalejaponaisnorvégienfinnoisallemandchinoisitaliengrecnéerlandais6. Joulupukkijaponaisnorvégienfinnoisallemandchinoisitaliengrecnéerlandais7. Sheng Dan Lao Renjaponaisnorvégienfinnoisallemandchinoisitaliengrecnéerlandais8. Santa no ojisanjaponaisnorvégienfinnoisallemandchinoisitaliengrecnéerlandais  
Source : Jeux du Portail linguistique du Canada

Phobies : vie en société

Jeu où il faut associer le bon mot formé avec le suffixe -phobie et sa définition. Les phobies sociales et les phobies de situations comptent parmi les phobies les plus handicapantes, car elles peuvent affecter la vie quotidienne de ceux qui en sont atteints. Dans certains cas, elles peuvent conduire à la dépression, à l'alcoolisme ou à la toxicomanie.Sauriez-vous associer les descriptions suivantes à la phobie correspondante?1. la peur des espaces libres et des lieux publicséreutophobieamaxophobieblemmophobieagyrophobieclaustrophobieagoraphobieaérodromophobiegéphyrophobieacrophobiesidérodromophobie2. la peur de rougir (surtout en public)éreutophobieamaxophobieblemmophobieagyrophobieclaustrophobieagoraphobieaérodromophobiegéphyrophobieacrophobiesidérodromophobie3. la peur des espaces clos ou étroits, la peur d'être enfermééreutophobieamaxophobieblemmophobieagyrophobieclaustrophobieagoraphobieaérodromophobiegéphyrophobieacrophobiesidérodromophobie4. la peur des hauteurs, des lieux élevés (s'accompagne souvent de vertiges)éreutophobieamaxophobieblemmophobieagyrophobieclaustrophobieagoraphobieaérodromophobiegéphyrophobieacrophobiesidérodromophobie5. la peur des voyages en trainéreutophobieamaxophobieblemmophobieagyrophobieclaustrophobieagoraphobieaérodromophobiegéphyrophobieacrophobiesidérodromophobie6. la peur des voyages en avionéreutophobieamaxophobieblemmophobieagyrophobieclaustrophobieagoraphobieaérodromophobiegéphyrophobieacrophobiesidérodromophobie7. la peur de franchir les pontséreutophobieamaxophobieblemmophobieagyrophobieclaustrophobieagoraphobieaérodromophobiegéphyrophobieacrophobiesidérodromophobie8. la peur du regard d'autruiéreutophobieamaxophobieblemmophobieagyrophobieclaustrophobieagoraphobieaérodromophobiegéphyrophobieacrophobiesidérodromophobie9. la peur de traverser une rueéreutophobieamaxophobieblemmophobieagyrophobieclaustrophobieagoraphobieaérodromophobiegéphyrophobieacrophobiesidérodromophobie10. la peur de conduire une voiture, la peur des voitureséreutophobieamaxophobieblemmophobieagyrophobieclaustrophobieagoraphobieaérodromophobiegéphyrophobieacrophobiesidérodromophobie  
Source : Jeux du Portail linguistique du Canada

Phobies : mots

Jeu où il faut associer le bon mot formé avec le suffixe -phobie et sa définition. Certaines phobies liées aux mots font réellement souffrir les gens; d'autres sont plutôt cocasses. Pourriez-vous associer les descriptions suivantes à la phobie correspondante?1. la peur de mal parlerdicophobielalophobieonomatophobielogophobiehippopotomonstrosesquippedaliophobiedyslexophobiecruciverbophobie2. la peur des longs motsdicophobielalophobieonomatophobielogophobiehippopotomonstrosesquippedaliophobiedyslexophobiecruciverbophobie3. la peur d'entendre prononcer certains motsdicophobielalophobieonomatophobielogophobiehippopotomonstrosesquippedaliophobiedyslexophobiecruciverbophobie4. la peur des mots, la peur de devoir parlerdicophobielalophobieonomatophobielogophobiehippopotomonstrosesquippedaliophobiedyslexophobiecruciverbophobie5. la peur de parler en publicdicophobielalophobieonomatophobielogophobiehippopotomonstrosesquippedaliophobiedyslexophobiecruciverbophobie6. la peur des mots croisésdicophobielalophobieonomatophobielogophobiehippopotomonstrosesquippedaliophobiedyslexophobiecruciverbophobie7. la peur des dictionnairesdicophobielalophobieonomatophobielogophobiehippopotomonstrosesquippedaliophobiedyslexophobiecruciverbophobie  
Source : Jeux du Portail linguistique du Canada

Phobies : nourriture

Jeu où il faut associer le bon mot formé avec le suffixe –phobie à la bonne définition. Qu’ont en commun les vampires et les alliumphobes? La peur de l’ail, bien entendu, aussi appelée alliumphobie.Saurez-vous associer les phobies suivantes à la peur qu’elles engendrent?1. La mycophobie est la peur .des champignonsdes aliments surs ou acidesde la nourriture en généralde la viandedu mieldes fruitsdu vindes légumesdu poivrede s’étouffer avec les aliments2. L’œnophobie est la peur .des champignonsdes aliments surs ou acidesde la nourriture en généralde la viandedu mieldes fruitsdu vindes légumesdu poivrede s’étouffer avec les aliments3. La créatophobie est la peur .des champignonsdes aliments surs ou acidesde la nourriture en généralde la viandedu mieldes fruitsdu vindes légumesdu poivrede s’étouffer avec les aliments4. La mellophobie est la peur .des champignonsdes aliments surs ou acidesde la nourriture en généralde la viandedu mieldes fruitsdu vindes légumesdu poivrede s’étouffer avec les aliments5. La peperophobie est la peur .des champignonsdes aliments surs ou acidesde la nourriture en généralde la viandedu mieldes fruitsdu vindes légumesdu poivrede s’étouffer avec les aliments6. La phagophobie est la peur .des champignonsdes aliments surs ou acidesde la nourriture en généralde la viandedu mieldes fruitsdu vindes légumesdu poivrede s’étouffer avec les aliments7. La carpophobie est la peur .des champignonsdes aliments surs ou acidesde la nourriture en généralde la viandedu mieldes fruitsdu vindes légumesdu poivrede s’étouffer avec les aliments8. La sitophobie est la peur .des champignonsdes aliments surs ou acidesde la nourriture en généralde la viandedu mieldes fruitsdu vindes légumesdu poivrede s’étouffer avec les aliments9. La lachanophobie est la peur .des champignonsdes aliments surs ou acidesde la nourriture en généralde la viandedu mieldes fruitsdu vindes légumesdu poivrede s’étouffer avec les aliments10. L’acérophobie est la peur .des champignonsdes aliments surs ou acidesde la nourriture en généralde la viandedu mieldes fruitsdu vindes légumesdu poivrede s’étouffer avec les aliments  
Source : Jeux du Portail linguistique du Canada

Jeux paralympiques d'hiver : à vous le podium!

Jeu testant les connaissances générales sur les Jeux paralympiques d'hiver. Voyons si vous gagnerez une médaille d'or à ce jeu. Il suffit de répondre correctement aux questions suivantes. Bonne chance!Si vous avez besoin d'un guide sur les notions de base, consultez l'article Jeux paralympiques.1. Quel sens donne-t-on aujourd'hui au préfixe « para– » dans le mot « paralympique »?paraplégiqueparallèleparalysie2. Aux Jeux paralympiques, les sports adaptés sont une adaptation des sports olympiques traditionnels. Nommez un synonyme de « sport adapté ».handisportparasportadasporttoutes ces réponses3. Trouvez un synonyme de « ski nordique paralympique ».ski alpin pour athlètes paralysésski para-alpinski de fond paralympique4. Complétez l'énoncé : Les six sports officiels des Jeux paralympiques d'hiver sont : le curling en fauteuil roulant, la para-planche à neige, le biathlon paralympique, le ski de fond paralympique, le ski alpin paralympique et .la luge paralympiquele patinage de vitesse paralympiquele para-hockey sur glace5. Au ski de fond paralympique, les athlètes de la catégorie Assis sont assis sur , une luge montée sur des skis.un monoskiun fauteuil-skiune monoluge6. Dans toutes les épreuves de ski, que ce soit le ski de fond, le biathlon ou le ski alpin, tous les athlètes ayant une déficience visuelle sont dirigés par un guide. De quel genre de guide parle-t-on?d'un chien-guided'une personne voyanted'un dispositif acoustique7. Au ski alpin paralympique, certains athlètes unijambistes dévalent les pentes enneigées à plus de 120 km/h. On les appelle les .athlètes à un skimonoskieursmonoparaskieurs8. Les athlètes ayant une amputation à une jambe qui skient sans prothèse et les skieurs sur luge utilisent des bâtons stabilisateurs. Donnez un synonyme de « bâtons stabilisateurs ».stabilosbâtons de ski d'appointstabilisateurstoutes ces réponses9. La tige de lancement est une perche permettant au curleur de lancer la pierre sans avoir à se pencher ni à placer la main sur la poignée. Par quel terme désigne-t-on « tige de lancement » en anglais?« delivery stick »« curling stick »« extender cue »toutes ces réponses10. Le terme « fondeur » est synonyme de « skieur de fond ». Vrai ou faux?vraifaux  
Source : Jeux du Portail linguistique du Canada

Jeux panaméricains : de la termino pour les pros!

Jeu portant sur différents termes utilisés dans des sports présentés aux Jeux panaméricains de 2015 à Toronto. Les Jeux panaméricains, compétition sportive réunissant les meilleurs athlètes des pays des Amériques, se sont déroulés à Toronto du 10 au 26 juillet 2015. Voici quelques questions sur des termes et expressions employés dans certains sports qui figuraient au programme des Jeux.1. En athlétisme, que veut dire l’expression « frapper le mur »?être pris d’une fatigue soudainefranchir la ligne d’arrivéefranchir la première haie2. En athlétisme, comment appelle-t-on le bord intérieur de la piste de course?contour internecordecercle intérieur3. Manche d’une partie de jeu de 10 quilles.périoderéservecarreau4. Au tennis, balle de service qui fait le point, le receveur n’ayant pas pu la toucher avec sa raquette.assmashavantage5. Au golf, un coup de moins que la normale du trou.birdieoiseletaigle6. Ceinture de karaté.obidogisensei7. En nage synchronisée, mouvement des mains destiné à appliquer une pression continue sur l’eau pour se propulser et soutenir le corps dans l’eau.calagerétropédalagegodille8. Au cyclisme, technique consistant à rouler immédiatement derrière un cycliste pour dépenser moins d’énergie.talonnageaspirationsillon9. Au trampoline, saut périlleux avant avec demi-vrille.baraniadolphfliffis10. Élément attaché autour du cockpit qui empêche l’eau d’entrer à l’intérieur du kayak.couverturecouvre-cockpitjupette  
Source : Jeux du Portail linguistique du Canada

Temps des Fêtes : joyeux Noël autour du monde

Jeu où il faut trouver en quelle langue l’expression Joyeux Noël est écrite. Le temps des Fêtes est de retour! Un peu partout dans le monde, c’est une période traditionnelle de réjouissances qui s’exprime dans toutes les cultures et dans toutes les langues. Vous connaissez probablement l’expression Merry Christmas, l’équivalent anglais de notre Joyeux Noël. Mais savez-vous comment souhaiter un joyeux Noël dans d’autres langues?Voici 10 manières différentes de le faire. Trouvez dans quelle langue chacun des souhaits est exprimé, et consultez ensuite le corrigé pour avoir un aperçu de la prononciation de chaque expression et de son intonation (les lettres en majuscules représentant les syllabes qui sont accentuées).1. ¡Feliz Navidad!allemandespagnolgrecitalien2. Buon Natale!allemandespagnolgrecitalien3. Nollaig chridheil!allemandfinnoisgaéliquenorvégien ou suédois4. God Jul!allemandfinnoisgaéliquenorvégien ou suédois5. S Rozhdestvom khristovym!allemandgrecnorvégien ou suédoisrusse6. Vrolijk Kerstfeest!allemandnéerlandaisnorvégien ou suédoisrusse7. Hauskaa Joulua!allemandfinnoisitaliennéerlandais8. Kala Xristougenna!allemandespagnolgrecnorvégien ou suédois9. Frohe Weihnachten!allemandfinnoisinuktitutnéerlandais10. Quviasuvvimi quviasugitsi!finnoisgrecinuktitutnorvégien ou suédois  
Source : Jeux du Portail linguistique du Canada

Célébrons Hanoukka!

Jeu qui donne un aperçu du vocabulaire lié à Hanoukka. Chaque année, Hanoukka débute entre la fin novembre et la fin décembre et dure huit jours. Que connaissez-vous de cette fête juive? Mettez à l’épreuve vos connaissances de ses traditions!1. Hanoukka peut aussi s’écrire .HanouccaHannukahHanukka2. Le mot hanoukka signifie .inaugurationfestivalcélébration3. Hanoukka est aussi connue sous le nom de .fête des Lumièresfestival de la Joiecélébration de la lumière4. Une hanoukkia est un chandelier à branches.septhuitneuf5. Hanoukka est célébrée à partir du 25e jour du mois de .kislevnissanetevet6. À l’occasion des célébrations de Hanoukka, la compote de pommes accompagne traditionnellement les .röstilatkeslaktes7. À l’occasion des célébrations de Hanoukka, les enfants jouent avec une toupie appelée .likhvoddreidelsimchah  
Source : Jeux du Portail linguistique du Canada

Monstres et apparitions

Jeu en français dans lequel il faut identifier différentes créatures monstrueuses Le folklore, la mythologie, les contes pour enfants et la littérature ont donné naissance à nombre de créatures monstrueuses qui hantent notre inconscient collectif. Voyez si votre vocabulaire de l’horreur est à la hauteur : saurez-vous trouver quelle créature correspond à chacune des descriptions ci-dessous?1. Géant qui aime dévorer des petits enfants.fantômeloup-garouogreyéti2. Apparition surnaturelle d’une personne décédée.fantômefaunelutinwendigo3. Personnage terrifiant qu’on menace de faire venir quand les enfants ne veulent pas se coucher.bonhomme Sept-Heuresrevenantchimèrefarfadet4. Cadavre desséché recouvert de bandelettes.fantômemomievampireharpie5. Reptile qui a le pouvoir de tuer d’un regard.basiliccyclopefeu follethydre6. Mort qui sort la nuit pour sucer le sang des personnes vivantes.momiezombiegobelinvampire7. Personnage maléfique de forme humaine qui se transforme en animal la nuit et rôde à la recherche de victimes.gnomecentaureloup-garousirène8. Adepte de magie souvent présentée comme vieille et méchante, qui peut s’envoler sur son balai.momiewendigosorcièredryade9. Monstre de la mythologie grecque qui tient à la fois du lion, de la chèvre et du dragon.sirènecyclopechimèrecentaure10. Être surnaturel mangeur de chair humaine, selon les légendes algonquiennes.wendigofarfadetyétiglouton  
Source : Jeux du Portail linguistique du Canada

Jardinage 101 : techniques et activités

Jeu portant sur le nom français et anglais des techniques et activités liées au jardinage. Connaissez-vous les techniques utilisées en jardinage et les différentes activités du jardinier? Sauriez-vous les nommer en anglais? Cet exercice vous permettra de parfaire vos connaissances du jardinage dans les deux langues officielles. Il suffit de trouver l’équivalent anglais des noms entre crochets. À vous de piocher!1. Certaines plantes grimpantes, comme les clématites ou les vignes, exigent un [palissage].pruningtraininglinking2. Le [marcottage] est une méthode de multiplication des végétaux.layeringsowingbudding3. Le [rempotage] ne doit pas nécessairement se faire annuellement pour des cactus de plus de trois ans.layeringplantingrepotting4. La multiplication se fait par [bouturage] de jeunes pousses qui s’enracineront facilement dans un verre d’eau.sowinglayeringcutting5. La [division] des vivaces redonne de la vigueur aux plantes et les multiplie par la même occasion.divisionbuddingpruning6. L’ensemencement en lignes facilite le désherbage et le [repiquage].seedingpricking outsowing7. Le mois de mars est idéal pour effectuer le [semis] à l’intérieur.seedlingsemiessowing8. Le [greffage] de plantes, comme la tomate et l’aubergine, se fait aisément.graftingpricking outcutting9. L’eau savonneuse est un [traitement] biologique contre les pucerons.conditioningtreatmentsrepellent10. Le [désherbage] permet de limiter l’envahissement du jardin par les mauvaises herbes.weedingdesherbingweedkilling  
Source : Jeux du Portail linguistique du Canada

Jardinage 101 : verbes

Jeu portant sur le nom français et anglais des verbes utilisés en jardinage. Connaissez-vous les verbes utilisés en jardinage? Sauriez-vous les nommer en anglais? Cet exercice vous permettra de parfaire vos connaissances du jardinage dans les deux langues officielles. Il suffit de trouver l’équivalent anglais des verbes entre crochets. À vous de piocher!1. Il faut [ameublir] la terre au printemps.loosenaerateamend2. Il est important d'[amender] le sol en jardinage.loosenamendenrich3. J’ai dû [débroussailler] une partie de ma cour arrière pour planter mes framboisiers.rakeweedclear4. Il aime [cultiver] toutes sortes de variétés de tomates dans son potager.growgardenculture5. J’ai fini de [sarcler] ma pelouse et mes plates-bandes. Il y en avait des pissenlits!digweedpull6. Elle prévoit [semer] des graines de légumes tout l’après-midi.dibblesowdig7. À l’automne, elle doit invariablement [ratisser] une bonne dizaine de sacs de feuilles.rakescraperacle8. L’agriculture organisée nécessite de savoir quand [labourer] les champs et quand ensemencer.mowplowsow9. Elle n’oublie jamais d'[arroser] son jardin avant de se mettre au lit.waterspraydrain10. On peut [fertiliser] un sol pauvre avec du compost, du fumier, du terreau ou encore un engrais.improvefertilizefeed  
Source : Jeux du Portail linguistique du Canada

À propos du Navigateur linguistique

Le Navigateur linguistique cherche simultanément dans tous les outils d’aide à la rédaction, jeux et billets de blogue du Portail linguistique du Canada. Il vous donne accès à tout ce dont vous avez besoin pour bien écrire en français et en anglais : articles sur des difficultés de langue, recommandations linguistiques, tableaux de conjugaison, suggestions de traductions et bien plus.

Pour trouver la traduction d’un terme ou la réponse à vos questions d’ordre terminologique dans un domaine spécialisé, consultez TERMIUM Plus®.